dimanche 19 août 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin je suis allé prendre un café au marché Atwater avec une charmante amie. Je l’attendais pas au bon café on a finis par se retrouver on a flâné un peu le long de la piste cyclable. Je suis arrivé trop tôt au rendez-vous et je suis peut-être partis trop tôt. J’ai eu chaud, on a discuté c’était bien. Je trouve ça quand même difficile d’être dans la foule, y’avait beaucoup de monde. Je vous raconte pas tout ce que je vie, je me censure… La climatisation fonctionne bien. Je me suis rappelé les années où je vivais dans la Petite-Bourgogne. Y’a des dames anglophones qui m’ont demandé de prendre leurs photos. Je l’ai fait j’espère qu’elle était bonne. Ça m’a rappelé ces années où je partais de chez moi et je marchais le long de la rue Notre-Dame jusque dans le vieux Montréal pour ensuite suivre le canal Lachine, j’y allais tôt le matin y’avait moins de monde. J’ai un peu parlé voyage avec l’amie, c’est au Brésil qu’on parle portugais en Argentine on parle espagnol. Je sais pas si ce serais une bonne idée de partir pour Buenos Aires, je vais réfléchir m’informer. Je regrette un peu de pas avoir appris d’autre langue. Je reviens à mon senti, y’a des femmes qui n’aiment pas qu’on les regardes, faudrait marcher la tête entre les jambes… En regardant le trottoir, celle-là elles sont souvent accompagnées d’un compagnon jaloux , lentement le mois d’août passe et moi je vieillis. Je pense à l’anniversaire de la super-maman et de ses deux marmots. Si je me souviens bien le tango c’est Argentin, en anglais ils disent « it takes two to tango » y’a aussi cet instrument le bandonéon différent de l’accordéon. On se rappelle d’Astor Piazzolla un grand bandonéoniste qui nous a fait vivre l’émotion musicale argentine. C’est toujours sinueux ce que je vous écris, je saute d’un propos à l’autre… Cette semaine c’est tranquille, j’ai juste un pic-nic vendredi j’espère qu’il feras beau. Le soleil plombe, dehors on cherche l’ombre, y’a des cyclistes et des joggers le long de la piste, d’autre se contentent de marcher. Parfois quand je reviens chez-moi après être sortis c’est comme si j’avais pas le droit de vivre, je sais ce sont les propos d’un pauvre malade… Les gens passent et sont à leurs affaires… L’amie avait une belle plume qu’elle a perdue à la suite de son accident cérébral vasculaire. Je pense jamais à ça que je pourrais tout perdre le petit peu de talent que j’ai. Y’a des gens très courageux… Me suis servis une boisson à l’orange italienne. J’essaye de terminer avec un certain bon sens, si l’amie me lis je la remercie de m’avoir tenue compagnie ce midi. Encore quelque mots, c’était un beau dimanche d’été à Montréal. Cosmopolite à souhait chacun y a pris ce qu’il voulait. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! C’est pas terminé j’espère que vous serez là à la prochaine!!!
Bernard

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