mercredi 29 août 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Quelqu’un désirait faire ma connaissance sur Facebook. Je lui ai demandé si elle lisait mon blog, une bonne façon de me connaitre je crois mais elle a coupé la communication. Ça devait être quelqu’un de malhonnête. Lentement la semaine tire à sa fin. La semaine prochaine j’ai une rencontre « contenu web » à l’institut. J’espère que les petits gars sont pas trop malades en ce début des classes. Je pense à Théo qui fait déjà de l’insomnie… Je sais pas trop quoi vous raconter, j’entends des motos qui passent, ai des souvenirs du temps où j’habitais une maison de chambres, comment j’aurais aimé avoir une relation intime avec l’intervenante. C’est pas arrivé et c’est tant mieux ça aurais juste compliquer les choses. Aujourd’hui je suis pas sortis, je suis seul chez-moi et c’est bien comme ça. Je crois qu’il vas y avoir des orages. J’essaye de ne pas écrire pour rien dire, c’était peut-être un enfant qui essayait de prendre contact avec moi avec le compte de sa mère qui l’a coupée… Les gens regardent mon profil sur LinkedIn, je veux juste leurs dire que je cherche pas de job, de toute façon j’ai pas beaucoup de talent. Je me diminue pas plus longtemps, je pense à l’histoire du vicaire avec des degrees et du thermomètre anal avec des degrees, le curé savait où ils allaient… Le temps deviens sombre. Encore une journée et c’est la paye, je commence pas la tournée ma vie vaut plus que ça. Quand je vous écris je suis pas un être virtuel, j’existe bien en chair et en os… Il tonne… Souvenir de la matriarche qui croyait se protéger de la foudre en allumant des cierges. On fermait toutes les fenêtres et regardait l’orage passé dans la peur, parfois y’avait une panne d’électricité. Voilà, la pluie tombe à grosses gouttes, la foudre, les éclairs…  Y’a un délicieux parfum l’orage est passée, je sais pas pourquoi dans ma tête ça dis « demain je veux pas y aller » je sais pas où! Finalement je suis ignorant mon discours est pas très savant, quand même je vais essayer de pas me dénigrer. Je pense à l’ami qui regarde les vieilles maisons loin de Montréal, c’est pas cher mais t’est isolé loin de tout. Il se cherche l’ami, maintenant à la retraite, c’est une difficile transition. Je fais comme toujours en cherchant les mots plaqués sur mon senti. La peur ça été le long fil que j’ai suivis dans ma vie, c’était pas nécessairement très bon mais ça m’a éviter des ennuis. Le soleil est de retour, je sais pas pourquoi j’ai de la peine pourtant ça devrais me faire plaisir de vous écrire comme ça. Bientôt septembre mes souvenirs de la rentrée sont loin… À la fin de mon parcours scolaire je me réfugiait dans la bibliothèque de l’école, j’étais trop en retard j’arrivais pas à me reprendre. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

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