dimanche 23 septembre 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de finir de lire les pages lecture de LaPresse+, y’a un article sur un éditeur que je ne nommerai pas mais pour lui ce qui est écris là-dessus, la machine, le web ça n’existe pas, c’est décourageant de lire ça, la littérature ordinée c’est une chimère selon eu, pourtant je l’ai lu sur une tablette une édition entièrement informatique, quand on parle de leur maison ça va, on est rigoureux mais le blog a pas encore ses lettres de noblesse. J’aimerais bien avoir un éditeur et produire un livre mais la littérature ça semble fait par et pour les universitaires. Je garde quand même ma ligne, je continus ici j’ai quelques lecteurs, je pourrais m’éditer à compte d’auteur mais ce serait inutile. Ce matin j’ai beaucoup lu, regardé les actualités à la télé et j’ai pas envie de me taper les publicités du match de football. Dimanche silence, je pense à la maison de chambres où j’habitais à ce voisin charmant à jeun mais détestable quand il buvait, il est décédé y’a un bon moment, je m’ennuis pas de lui. Bukowsky écrivais les contes de la folie ordinaire, c’est vrai qu’elle est ordinaire on la retrouve partout à tous les coins de rues, embouteillé et prête à tuer. Tellement on finiras pas tous avec une rue à son nom comme Marguerite Yourcenar, quand même l’idée c’est pas d’écrire pour la postérité, on est bien peu de choses, mais d’arriver à un état de bien être quand on termine des écrits. Je crois que plusieurs se disent que je rêve en couleur, les bums du bas de la ville ça s’inscrit jamais au panthéon de la littérature. Je crois qu’on désire que j’avoue ma défaite que je cesse que je me rende… C’est le combat de mon senti, vous dites y’a mieux à faire qu’écrire, je suis pas de la race des bricoleurs, on la prend pas au sérieux mon écriture mais je persévère. J’ai déjà été un livre vivant où j’invitais à visiter un chapitre de ma vie. Je reviens à cette folie, pourtant parfois elle est jolie même si c’est pas de la poésie. Pour terminer c’est toujours de plus en plus difficile d’écrire une belle chute, dans le bas de la ville y’a toujours le stigmate des béesses, on préférerais nous voir enfermé dans ce qui tiens lieu d’asile. Je reviens toujours à ça avec mon senti. J’écris pas pour l’argent sinon j’écrirais des modes d’emploi d’appareils domestiques… Voilà! Quelques mots encore, je me dénigrerai pas, ni n’écrirai d’humour simple, je suis pas drôle de nature, aujourd’hui je veux terminer trop vite pourtant on m’a toujours dis de prendre mon temps, j’écris rien d’étonnant, juste une prose de tous les jours qui me ramène en classe des années en arrière. Quand j’aurai terminé je veux juste être confortable. N’hésitez pas à me faire vos commentaires ils sont toujours bienvenus. Pour maintenant je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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