jeudi 9 mars 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui c’est encore une histoire de ménage. Je vais essayer quand-même de m’en tenir à mon senti… Je pense à ma regretté sœur, si elle avait vécu ça aurait été une belle personne pour nous aider. J’essais de voir comment je me sens. C’est là nuit, les bars vont bientôt fermer, étrangement ça sent l’ail… Je dors très mal mais cette nuit c’était mieux. Dehors la neige est fondue c’est gris. Aujourd’hui je vais aller à la pharmacie, il manque quinze comprimés dans l’ordonnance. Le matin c’est difficile de vous parler de mon senti… Je suis anxieux j’ai peur de me faire mettre dehors parce que tout n’est pas comme ils veulent chez moi. Je vais les laisser entrer mais je ne parlerai pas. J’ai fait ce que j’ai pu, c’est pas une très belle phrase. Souvenir de Raymond qui s’était fait mettre dehors de son appartement et qui s’est suicider. J’ai sortis pas mal de chose hier, je sais pas de quoi on risque le plus de crever, de la vermine où des gaz d’échappement de la circulation automobile? Parais que la pollution atmosphérique en tue plusieurs dans le goulag occidental. https://www.google.ca/?gws_rd=ssl#q=tout+est+rose+eric+charden&*  une vieille chanson ce matin, c’est ce que j’ai en tête… L’inspection ça me fait piquer une crise, je me dis, je vais pas chez ces bonnes femmes voir si il y a de la vermine pourquoi elles viennent chez moi? Je sais c’est pas comme ça que ça marche mais je peux pas m’empêcher de penser qu’il y a une sorte de contrôle là-dedans. Dehors y’a un grand vent, je fais trempé la vaisselle. Je crois que je vais devoir sacré le camps je ne sais où… J’y arrive pas, j’y arrive pas ce matin de vous parler de moi, de mon narcissisme aigu, de mon égocentrisme latent. En fait j’ai nettoyé et c’est comme ça je peux pas faire plus. Je me répète, c’est une obsession… Le ménage ça toujours été mon point faible même quand je vivais avec une femme, je le faisais pas. Je ramassais ce qui trainait ici et là mais pas plus. Hier, j’ai tout mis dans des bacs que j’ai laissé dans l’entrée et comme toujours j’ai mal ce matin c’est difficile, ce que j’aime pas c’est me faire dire quoi faire… Ce matin je me sens à l’étranger, je ne sais où y’a des jours que c’est comme ça parfois c’est agréable d’autre pas. J’ai retrouvé mes gants d’hiver, je peux pas m’empêcher de pensés au patriarche à qui il manquais trois doigts de la main gauche. Ce matin je crois que je vais pleurer… Tout ce que je veux c’est qu’on m’oublie… Mais maintenant on est sortis de la nuit, les gens vont faire leurs boulot le plus salaud, ils vont s’excuser parce qu’ils ont une job à faire pour moi c’est pas une raison les nazis fonctionnaient comme ça, J’arrête ici en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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