mercredi 1 mars 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ai passé la journée à chercher un post sur Facebook, il est disparus, je laisse faire. Dehors la neige est presque toute fondue, il pleut. Je vais faire chauffer mon chili, c’est fait, j’ai mangé. J’ai changé mon horaire de rédaction, je crois qu’un de mes amis facebook s’est fait volé son identité. J’ai jamais retrouvé mon post j’en ai envoyé d’autre. J’étais content de me réveiller ce matin, j’ai bien dormis, pourtant y’a toujours des empêcheurs de tourner en rond. Je sais pas trop ce que ça veut dire, y’en a toujours pour mettre le bordel? J’ai affaire à sortir demain. Pour ce qui est de mes posts c’est envoyé deux ou trois fois. Je me sens bizarre tout à coup, la journée est presque passée. Je sais que vous les avez vu vous avez commenté, parfois y’a des bugs. Moi ça m’irrite quand ça arrive. Je suis un grand dérangé voilà comment je me sens. J’ai regardé le J.E. de TVA sur la santé mentale, j’ai pas appris grand-chose encore une fois ils y sont allé avec le spectaculaire. J’ai il y a longtemps déjà cogné à plusieurs portes pour me faire soigner. J’ai réussis à me faire traiter. Ça fait quelques temps que ça va mieux et c’est bien, c’est certain que du côté estime de soi c’est pas toujours fort fort… La matriarche viens de me téléphoner on a discuté cuisine et supermarché, comme disait l’autre « quand l’appétit va tout va » encore faut-il avoir à manger. Les snowbirds changent leurs nids de place bientôt, j’espère pour eux que ça va être aussi beau. La matriarche m’a mis à l’heure pour les outardes elles sont d’ici chez mes lecteurs-trices à Deux-Montagnes, semble qu’elles cherchent de l’eau. Les vols qu’on voie passé c’est ceux qui ont passé l’hiver ici mais j’ai un petit doute. Dans un article on parle de mystère et de devancement des migrations printanières dues au réchauffement climatique. La voisine, parlant de migration d’outarde, sort ses meubles par la passerelle, le premier du mois c’est souvent ça y’en a qui migrent. Eux autres ils font vraiment béesse à se parler en criant sur la passerelle, on dirait qu’ils sont seul, ils dérangent tout le monde et s’en rende pas compte. Une bonne chose elle a sortis un lit si c’était pour la visite elle va rester moins longtemps, le premier du mois ce sont des agités. Je croyais pas arrivé à vous écrire aujourd’hui mais y’a toujours quelques choses à dire. Lentement la nuit tombe, piétons, vélos, automobiles, autobus, camions passent, c’est la vie du goulag occidental. Voilà ou j’en suis à essayer de nommer mon senti. Je vous remercie pour vos commentaires, c’est vraiment le jour de la paye pour les plus pauvres, on va fêter un peu avant de payer le loyer pourtant parfois on mets pas les bonnes choses à la bonne place. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

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