samedi 4 mars 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai reçu le commentaire d’un lecteur qui veux comprendre mon univers, c’est simple mon univers c’est ce que tu lis ici, mon senti et souvent la schizophrénie paranoïde… Aujourd’hui c’était froid et ensoleillé. Je suis resté étendu tout l’après-midi, je m’en veux un peu ça me donne du retard pour vous écrire pourtant j’ai rien de plus important à faire. Je pense aux impôts bientôt, je devrais pas vous en parler mais c’est ça cet après-midi y’a quand même rien qui presse, les chiffres c’est jamais très poétique. Je veux être content quand je vais avoir terminé de rédiger. Je pense à l’agent de planification programmation et recherche à comment il nous fait travailler et nous implique dans la société c’est bien pour moi la pleine citoyenneté passe par lui,même si parfois c’est pas facile. Je me rétablis et ça permet de collaborer à Reprendre Pouvoir le groupe d’entraide, au Cabaret Poétique à la rédaction et au jeu ainsi qu’à la bibliothèque vivante. Je vous parle pas du mois de mai où je vais parler des patients partenaires de l’enjeux et des facteurs de réussite avec le directeur adjoint, une conférence, comme vous voyez je suis occupé c’est ce qui contribue en partie à mon rétablissement. Je rédige aussi le compte rendu des réunions de Reprendre Pouvoir et maintenant je suis membre du C.A. du comité des usagers de L’IUSMM et membre du C.A. d’Antenne Communication ça fait pas mal de choses juste à lire comme ça je suis déjà fatigué. J’ai l’impression d’avoir été pris dans une immense toile d’araignée dont je ne pourrai me libérer… Je suis étourdis c’est ça mon senti pour tout de suite ma plume est pas tellement belle… J’ai qu’à prendre mon temps. Je fais chauffer une quiche provençale, je suis le roi des ringards. Ce que je vous écris c’est pas long à lire mais ça prend du temps à rédiger. On me dis de pas arrêter tant que les mots vont être là, c’est ce que j’essais de faire, de dire, me dire, dans l’univers d’exilé du goulag occidental. Je suis déjà nerveux pour la conférence du mois de mai. Je crois que nous allons nous rencontrer un peu avant pour nous préparer, y’a ces longs couloirs de l’institut qui sont toujours là mais on en sort parfois j’ai le sentiment de trainé l’asile sur mon dos qu’elle est en remorque. Ai mangé ma quiche provençale et ouvert la télé. Je pense que certains lecteurs préfèrent me lire que de regarder la télé, je m’en plaindrai pas. Lentement le soleil se couche, le ciel est bleu. Je me souviens toujours des samedi plus tranquille, j’irai pas ce soir à l’urgence attendre qu’on soigne ma psychose. Je pense à la voiture de collection de mon lecteur de Deux-Montagnes il a surement hâte de la sortir. Je sais pas quel genre de traffic fait ma voisine mais ça arrête pas de circuler sur la passerelle. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!!
Bernard

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