jeudi 25 avril 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! De retour pour d’autre écritures cette nuit. Nuit de jeudi à vendredi à l’époque elle était très populaire pour les sorties épiques, mardi midi un poète a dit un ver de Patrice Desbiens le poète franco-ontarien… Il est ce que je ne suis pas, perdus dans un univers de mots j’arrive pas à capter la poésie. Je dirais que Desbiens à pris la place des Miron, Giguère, Godin si c’est humainement possible  pendant ce temps-là je délire en espérant combattre le stigmate. Cette semaine j’ai eu l’impression de commettre un crime en osant prendre des notes dans mon carnet sur le site d’Hyppolite Lafontaine, l’endroit où ont vécu plusieurs poètes et écrivains mythique, mon combat il commence là arrêter de me détruire et dire deux-milles dix-neuf dans ce parfum de fin du monde, les pâtes et papier c’est plus ce que c’était, adieu les grands journaux… Montréal c’est quand même loin des épinettes ont n’est pas à Thurso et son moulin… Quand je serai décidé je m’éditerai à compte d’auteur, c’est toujours ça le début et la fin d’un poète… Cette nuit mon senti retiens mon âme qui veux s’enfuir, on vois pas le travail dans la mise en place des mots que j’espère poétique. Je suis un goon de la poésie j’attends les tapes sur la gueule avec ma sensiblerie… L’éthyl me tuais, adieu les beaux vers, pour moi cette époque-là est finis je regrette un peu d’avoir utilisé ces vers en ette que j’ai écris y’a plus de vingt-cinq ans, ça valait pas grand-chose, là metteur en scène à pas aimé mon jeu… Mais je les assumes mes vers idiots… On arrive à vendredi, je suis toujours étonné de pas être sourd après avoir passé tout ce temps dans ces bars à la musique tonitruante… Au sein de ma minorité, les poètes schizophrènes si on veut, on m’a disqualifié. Je suis trop fou pour dire l’ordinaire avec panache, je me vois dans la fenêtre de la maison de chambres à regarder les ruines de ce vieil hôtel du dix-neuvième siècle… Je pleure et j’essais de dire en pensant aux contes de la folie ordinaire de Bukowsky, souvent les lecteurs de poésie aime bien que ce sois déjanté que ça donne l’image de monde sordide et glauque… Je me débat trop avec les mots j’y met trop d’espoir quand c’est le désespoir que ça demande, j’ai envie de prendre toute la quincaillerie et de jeter tout ça dehors par-dessus la passerelle. Tout à coup je pense à la mort c’est pas un jeu d’enfant… Les grands poètes vivent pas les émotions verrouillées par la médication, encore cette nuit je vous aurai écris… Les snowbirds sont de retour chez eux on les espère heureux… J’ai presque terminé, en suis presque à la chute pense à cet immense sentiment de solitude qui m’habitais, à ce propriétaire de bistro qui me dénigrait. Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard




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