dimanche 14 avril 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai dormis un peu et me revoilà devant mon écran. Je vous illustre ça avec la Transamerica Pyramid de l’architecte William Pereira sa construction s’est fait de mille neuf-cent soixante-neuf à mille neuf-cent soixante-douze et son ouverture la même année, c’est une architecture de style futuriste et le plus grand bâtiment de San Francisco après le Salesforce Tower sa façade est en quartz il est d’une hauteur de deux cent soixante mètres, cinquante étages, dix-huit ascenseurs et n’est pas ouvert pour la visite. Le coût de construction est de trente-deux millions de dollars. Tout ça c’est loin de mon senti… J’ai de la difficulté à me trouver un autre projet de voyage, l’amie agent de voyage m’a suggéré le sud des Indes, mais je sais pas… Je pense un peu à la Norvège où à un pays d’Europe du nord même si le climat ressemble aux nôtres. Parfois dans mes angoisses c’est comme si il y allait du sort du monde, je me suis préparé un café, je peux pas vous dire comment j’ai tripper à Frisco comment j’ai aimé y marcher le matin tôt quand la ville se réveille… Cette nuit j’écoute ce qui pourrais sortir de mon âme. Il est pas encore minuit, on est pas lundi… Je fouille toujours plus profond dans mon senti, je sais que c’est dangereux mais je fais ça au risque de n’avoir rien à vous écrire pour moi c’est un enjeux.   Ce matin j’ai une réunion pleinière du groupe d’entraide, je suis heureux de recommencer… Je crois qu’on va parler de notre présence au colloque de l’association québécoise de réadaptation psychosociale. C’est à l’automne, le voisin sourd et muet se promène dans les escaliers de l’édifice, je crois qu’il réalise pas qu’il dérange tout le monde… Je vais attendre le printemps prochain pour un nouveau départ… Les portes grincent, et il les cognes, comme souvent une voiture passe avec la musique dans le tapis. J’écoute mais écrire coupe l’inspiration, j’attends pas assez je laisse pas monter ce cri ce mal littéraire, cette douleur scripturale… Voilà, lundi est arrivé, je veux pas que l’écris de mon senti passe pour de la sensiblerie. Tout est dans l’émotion… L’horloge fait son tic-tac, toujours-jamais…Je mange des chips au Ketchup, je crois que quand on sait pas comment qualifier quelqu’un on dis qu’il est poète, mais la poésie est chose si importante, il s’agit de nommer, qu’on ne peut pas être poète par défaut… La psychiatrie produit son lot « d’artistes » je sens ça comme un ghetto… Les œuvres ne mettent pas de beurre sur le pain. Je suis un de ces psychiatrisés là… Je ne consulte plus le psychiatre mais le stigmate est resté. Tout ça sonne comme le retour dans mon quotidien de « fou », je vous aurai dit, vous aurai écrit encore cette nuit. Voilà! C’est comme toujours la difficile chute, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Continuez encore quelques mots pour terminer!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire