vendredi 23 juin 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! De retour avec ma prose si imparfaite, elle est au présent… Cette nuit la photo c’est une rue piétonne de Lyon, des précurseurs dans la manière au centre-ville. Je pense qu’à l’époque la rue était fermée aux voitures juste le week-end… Je savais pas j’avais été obligé de me garer sur une rue transversale. Je cherche quoi vous écrire cette nuit, pense à ce voyage de deux semaines en France avec une copine, on a bien mangé à Lyon qui chacun le sais est la capitale gastronomique de la France. C’était la première fois que je sortais du pays, souvenir d’un restaurant près d’une gare où j’ai mangé un steak si bon que j’en rêve encore. À l’époque je buvais du vin mais j’étais incapable de l’apprécier… Ouais! Ça fait vraiment Robert Viau mon affaire, je vais plutôt vous écrire sur ma façon existentielle de vivre. Je sais toujours pas si l’essence précède l’existence mais essentiellement je vie… Je sais plus rien de Jean-Paul Sartre, je pense qu’il faut faire les choses, de là l’écriture du blog. Pourtant j’ai un ami européen qui dit que Sartre est pas un grand penseur, que sa réputation est surfaite et qu’il y a que le Québec qui en fait un grand homme. Moi je suis pas un philosophe, plutôt un écrivain qui réfléchis, je suis incapable de résumer sa pensée. J’aime bien comment le docteur Destouches le surnommait, « l’agité du bocal ». J’essaye toujours de faire de la littérature sur la machine, d’y laisser une empreinte avec mes mots. Je pense aux migrants je crois que la planète à jamais vécu d’aussi grand mouvement de population.  Les gens veulent la paix mais la terreur détruit leur vie. Je sais pas pourquoi je pense à Terrebonne une ville essentiellement blanche et québécoise, une ville que j’ai quitté parce que les loyers étaient trop cher parce que j’avais peur aussi… C’était ma schizophrénie paranoïaque mes oreilles qui bourdonnaient et ce loyer dans un sous-sol où la nuit on cognait sur le plancher, de quoi me rendre plus fou que j’étais… Les copains m’avaient quand même hébergé pour un moment je leurs suis reconnaissant. Ça fait longtemps tout ça plus de trente-cinq ans, je découpe ma vie c’est comme si elle était en trois périodes, avant la maladie, pendant la maladie et après cette même maladie, l’après c’est pas la guérison c’est le rétablissement à chaque jours. Quand je vais à Terrebonne on dis que je suis un gars de la ville, comme si eux habitaient un village. Je sais qu’il y a une certaine communauté chez les buveurs de bière les gens qui fréquentent les pubs. Moi ça m’intéresse plus ce monde alcoolisé j’ai plus envie de perdre mon temps, c’est pour ça que j’écris. Je laisse quand même les gens s’amuser. Moi quand je suis saoul je suis pas du monde. Je termine ici en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

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