samedi 17 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je sais pas trop quoi vous raconter cet après-midi. Je vous place la photo d’un joli village accroché à flanc de montagne dans les Alpes. J’y vais avec mon senti comme toujours, j’ai acheté mes billets pour la Sagrada Familia et pour le parc Güell. Je sais pas si je vais être capable de me démêler en Espagne, on m’a dit qu’à la limite je pouvais parler anglais. Finalement je sais de quoi ça a l’air des tapas, ceux que j’ai mangé dans un bar à tapas de la rue Saint-Denis étaient très bons. C’est samedi, nuageux mais il pleut pas. Je dis merci aux lecteurs qui me font des commentaires, c’est toujours apprécié. En ce moment je lis pour la deuxième fois un roman qui se passe à Barcelone ça s’intitule « L’ombre du vent ». J’ai encore d’autre lecture à faire, ai regardé des vidéos et des livres sur le musée Picasso et sur le musée national d’art de Catalogne c’est un connaisseur qui m’a prêté ces vidéos. J’ai hâte je vous dis d’être assis dans l’avion. Chez moi y’a une odeur de bouffe, ça vient de chez le voisin et sent plutôt bon. Je me prépare un café, c’est le quotidien. Étrangement je pense au journal Terre de chez nous et à la bande dessinée Onésime que je pouvais lire chez Son Oncle Rolland. J’ai jamais pensé devenir cultivateur, je suis un urbain, la ville le béton et l’asphalte mais j’aime quand même les parcs, les visites en camping, faire un feu le soir dehors et le regarder c’est apaisant. Tout se bouscule dans ma tête je comprends ceux qui vont à la pêche chercher la paix, moi j’aime bien les églises. Je suis quand même pas curé, à l’époque où j’aurais eu besoin de soins spirituel y’en avait pas. C’est pas grave ça m’a fait grandir et accepter le seuil d’une certaine douleur. Je pense au « bôf » je sais pas si il me lis, c’est pas grave j’écris quand même un peu pour lui… Je suis un peu vieux pour la poésie mais je continue quand même, ma paperasse elle va disparaitre sans que personne l’ais lu. Lundi passé j’ai discuté poésie avec un ami français, on s’est entendu pour dire qu’on aimais bien le côté trash sale de certains. Quand je parle de ça, je pense à Vanier, à Francoeur, à Péloquin et d’autres… Tout à coups je suis triste, je réussis pas ma poésie suis obligé de me rabattre sur la prose, je pense à Prévert à Cosma… Tabra étais fort aussi. Aujourd’hui je m’auto-dénigre pas, c’est pas nécessaire. J’essais d’écrire sans trop me battre avec les mots. J’aimerais qu’un jour on dise que j’était un auteur, un écrivain, c’est tout ce que je sais faire… Je vous ai écris ça aujourd’hui. Je vais essayer de revenir un peu plus tard. Parfois la nuit m’inspire un peu plus. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard

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