dimanche 18 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me voilà encore une fois, cette fois ci j’illustre ça avec un canal de Annecy, une ville du Rhône que j’ai visité y’a plusieurs années. Aujourd’hui il fait chaud mais comme on dis si on compte les journées ça dure pas. Je veux pas vous harceler juste vous donner à lire à partir de ma petite vie de pépère. Je souhaite une joyeuse fête des pères à tous les pères qui me lisent. Cet après-midi je me suis reposé et j’ai pris un café dans le parc avec l’ami. Je pense à tous ces neveux qui sont pères. Mon patriarche est maintenant décédé j’ai une pensée pour lui et tous les autres qui sont partis. J’essaye comme toujours de vous dire mon senti, j’ai pas la plume de Gaston Miron et de son homme rapailler. Moé je suis plus écarté que rapailler . Je me perds dans une foule de mots que je ne sais pas utiliser à bon escient. J’essais de nommer l’esprit des choses, le désir journalier. Je veux, je veux, je veux mais ce vouloir s’achève à la façon d’une âme en peine dans les larmes du jour. Je me berce d’illusion en croyant écrire de la grande poésie sortie à l’image du cours classique, pourtant je suis sous-scolarisé et j’écris pour ceux qui ne savent pas lire. J’essaye de composer et de tenter l’humanité des mots. Je sais pas pourquoi je pense aux slaves peut-être à cause de mon goulag occidental où on vie en dessous faute d’être dessus et de voir l’horizon. Vous comprenez rien à ce que j’écris moi non plus je me lâche lousse dans l’écriture. Parfois j’aimerais être grand faute d’être une grande comme on appelle ce genre d’oiseaux de nuit. Une espèce de diva masculine pourtant je ne renie pas ma masculinité, ma virilité… Souvenir de Annecy la Venise du Rhône j’avais quand même bien aimé ce voyage, le paternel m’avait aidé à le financer, étrangement il ne m’en a jamais reparlé. Je lui dois des choses au père, j’ai jamais pu les rendre. Je suis certain qu’il m’a pardonné là où il est. Tout ça c’est des confidences j’en ai jamais parlé, c’était l’époque où je passais la moppe, à mon retour je l’ai pas fait longtemps. J’étais en larmes la douce de ce temps-là m’avait donné mon congé. Après la voltige du voyage je revenais sur terre seul sans image. Une peine d’amour quand t’a l’affect affecté ça fait mal mais c’était pour le mieux et y’a longtemps de ça. J’ai jamais fait comme le père, j’y comprenais rien, j’arrivais pas à me construire une vie de paternel j’ai jamais eu d’enfants. Heureusement il me reste l’amour filial de mes frères, on se parle et on s’écoute, moi parfois je suis comme un grand enfant mais on me comprend. Je termine sans savoir comment. Parfois je manque de talent mais pourtant. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

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