vendredi 2 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Toute mes excuses pour le texte d’hier mais j’étais désemparé. La fatigue me fait délirer. J’aime bien les voitures de mon lecteur de Deux-Montagnes, j’espère qu’il a gardé son Challenger. Moi tranquillement je vois mon voyage arriver. J’ai hâte de voir la Sagrada Familia. Je suis un peu perdu j’ai plein de rendez-vous… Je croirai que je pars quand je serai assis dans l’avion. Je vais essayer d’écrire sur mon senti mais un peu plus doucement qu’hier, j’ai bien apprécié les commentaires de mon lecteur de Repentigny. Cet après-midi je suis calme, je reste chez moi j’ai pas envie de sortir, hier quand même je crois avoir eu des commentaires positifs sur ce que je fais. Je vais ralentir le rythme, cinq cent mots à tous les deux jours peut-être? Je sais pas si je vous ai raconté que j’ai retrouvé mon couteau de poche, je suis très content. J’essais de rester tranquille de m’apaiser en regardant tranquillement passé la journée. Je reviens sur le stigma, je tiens pas la société responsable de ce que je suis devenus. Aujourd’hui je suis content d’être ce que je suis mais y’a toujours place à amélioration, comme je l’écris souvent je fait de mon mieux… Je trouve pas d’anecdote sur mon passé à raconter. Je pense à Trump qui crois pas au changement climatique, qui va détruire une partie de son pays et empoisonner ses concitoyens. Dans le goulag occidental où j’habite, les hommes meurent beaucoup plus jeunes à cause de la pollution automobile, on vit pas à la Maison Blanche. « Make America great again » il va plutôt en faire un enfer et je m’abstiens de parler du racisme et des prisons, des condamnations à mort. J’ai dis au début que je serais plus doux je vais essayer. Dans mon rétablissement je devrais pas argumenter sur des thèmes pareils… Je pense aux voitures électriques, à mon lecteur collectionneur de voitures, c’est la liberté… Je peux pas trop parler de pollution automobile, moi je prends souvent l’avion et je sais pas comment ça pollue un avion… Tout ce que je peux dire c’est qu’il faut vivre malgré tout et faire ses choix. Moi, je choisis les choses simples mais je suis pas granola, on a beau me dire qu’on rase les forêts pour nourrir les bœufs, j’aime bien la viande. Je veux pas faire de polémique… Remarquez que ce soir je mange du poisson avec des pommes de terre et des carottes rien de trop nocif. Je crois que même ceux qui habitent la campagne vont au supermarché. Les produits du terroir c’est bon mais ça coûte cher. Je suis pas capable de construire un discours écologique et de m’y tenir. Je veux bien le retour à la terre y’a personne qui est contre la vertu mais je psychanalyserai pas des poules pour manger, le trauma du poulet ça change quoi au B.B.Q. Voilà ce que c’est pour aujourd’hui. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

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