mardi 27 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis content que le texte précédent vous ais plût. Parfois à trop vouloir faire de sens on perd l’essence… Ce matin je crois que je vous ai tout donné hier. La photo c’est juste une porte en France… Ce que je vous écris aujourd’hui je trouve ça nul à chier mais je l’écris pareil. Je devrais avoir des nouvelles de mon voyage bientôt. Je reviens dans cette follerie qu’est mon senti parfois j’ai l’impression d’avoir tout dis, la difficulté elle est là, si je fais comme hier je vais me répéter… Je prends mon temps. J’y arrive pas ça demande trop d’énergie. Je veux juste écrire un texte qui vous plaise, parfois je me dis que valait mieux l’hôpital que la prison… J’ai vu des policiers en moto, je me demande à quoi ça sert. Je vous ai déjà dit que j’ai peur, que la nuit je me sens maudit, toute une patente, la patente je crois que c’est comme ça qu’on nommait les franc maçons à l’époque. Attends-moi ! Attends-moi! J’écris si tôt et pourquoi pas? Je fais la navette entre le lit et mon clavier, c’est rien d’intéressant, pourquoi? Comment? C’est comme si je voulais pas y aller à fond, j’en écrirai bien un autre texte comme le précédent. On discutait avec l’assistant metteur en scène, comment le trash dans la poésie ça pouvait être intéressant, moi je crois qu’avant de trasher faut avoir une certaine maitrise, ne pas écrire comme un cochon! Je me souviens que chez le patriarche on recevait le Sélection du Reader’s Digest et la revue du National Geographic Society, deux lectures « édifiantes »… Ce matin ça roule en fou, on respecte pas la vitesse limite. Vous aimeriez peut-être que j’écrive dans un français châtié mais j’en suis incapable. Le jour est là, on entend les oiseaux comme à tous les matins. J’écris à moitié endormis, l’insomnie ça fait partie de la création. J’avais oublié qu’une application web comptais les lettres pas les mots. Je préfère ma manière, je compte les mots, je voulais pas le dire mais vous avez surement remarquer. Ce matin je suis à bout, je radote… Sur Facebook y’a un motivateur qui sévit, j’ai pas besoin de lui. Bon! Je me lance je vais essayer de terminer d’une traite, il est peut-être un peu tôt, je vais chercher les mots et ce que j’ai à vous dire ce matin pas grand-chose. Mon texte d’hier m’a usé, il était trop fort… Toujours ces voitures au pot d’échappement qui ronronne, le matin c’est fatigant, Tie a yellow ribbon around the ole oak tree https://www.youtube.com/watch?v=7NCZ4l8FCFc une chanson qui à l’époque milieu des années soixante-dix, tournais à tous les matins sur l’émission de Jacques Proulx, j’écoutais ça en allant travailler avec le patriarche dans sa voiture, je crois que j’étais déjà malade je pouvais pas me résigner à mener cette vie là pour le reste de mes jours. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard

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