mardi 27 juin 2017

Au présent

Il arrête avec son sarreau sans trop au dos ni auto sur la peau. Il étais gros et pro et plutôt que héros il étais nono. Pourtant comme un veau une escalope sans macro devenu poireau faisant manger les moineaux. Vous verrez le sirop les médocs et l’hosto ça vous tue un agneau assassine le bobo. Ce que je vous écris c’est pas un cadeau, j’en rie fait le saut, pourtant je grimpe au poteau m’arrache grâce à l’eau et la tache la tache les crocs qui s’attachent à zéro me font mal au tarot, mettent à mort le taureau. Vous verrez pas de sitôt la fin des mots bouillant au fond du creusot, va t’en va t’en salaud, mange ton poireau pense aux animaux à tout ceux que tu crois de trop. Et voilà la croix le rideau c’est joué au tombeau vous verrez votre anneau, votre jonc votre lot. C’est pas bon je répète trop de mots, je démarre au jambon à vélo comme un pro travaillant en silo. Tu joue tu joue du cello, de la musique en do pourtant le maestro aime pas trop. Une espèce de blaireau qui fouille dans tout les bureaux, une nouille de légo. Là c’est mon ego qui s’emballe en fait trop tire une balle et ça blow, anarcho, anarcho, politique de puteau en vacance sans trop. J’avance en syno, en syncro, ça dure pas c’est lesbo. Pourtant sexy sexo c’est pas de ça ces mots. J’y vais dans ces beaux jeu de pipo, une musique classico. Tout à coup la radio, la sono me rend sourd les oreilles le tempo. Tu casse les bibelots cet espace tombe de haut. Là je prends le couteau me coupe les muscles saligauds. Le poète hétéro en dis pas trop, il se répète joue du museau. Hé oui! On rêve de château, d’habitation haut niveau on reste là en buvant son pernod et espérant le nouveau. Attend je te lance le lasso attrape les chevaux. IL est mort Picasso maintenant on préfère l’art nouveau. On sais pas quoi faire une vision d’anthropo,  le boulot voilà ce que c’est des travaux… Ici je dis faut que j’aille au lit, c’est presque la nuit et j’ai qu’une seule envie dormir passé minuit, la vitre luit, moi je m’ennuis je vous écris et je lâche un cri, faites le tri, faites le tri dans ce que je dis, y’a pas de révolte y’a pas de mépris, je sais je vais vers le bri, je serai cassé je serai détruit, dites moi un mot poli, un autre gentil, je vous répondrai merci. Pour ce qui est des biscuits je n’en mange que le samedi, les vidanges sont le lundi. Voilà la chute, je gagne pas de prix, j’ai presque fini, j’espère que vous avez rie  voilà ces vers viennent pas de Paris, juste une rue pas loin de la Saint-Denis, c’est un peu gris, j’ai essayé d’être joli. Si vous aimez pas tant pis. Je vous dis encore merci!
Bernard

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