Bonjour ! Il est tôt ce matin mais ça va quand même vite.
Overdose et campement un couple explosif, je reviens souvent avec ces
thématiques là. De chez moi je vois parfois les junkies préparé leurs fix d’autre
leurs pipes quelques secondes et ils sont dans le délire. Je peux pas vous en
parler beaucoup j’ai arrêté tout ça je suis maintenant en rétablissement. J’ai
bientôt finis mes implications, la semaine prochaine retour sur la rencontre
avec les jeunes visite chez le physiothérapeute et visite chez l’ophtalmologue
ensuite je crois que ce qui resteras d’été seras à moi. Ma jambe se rétablis je
vais attendre avant de partir. J’espère que les voitures de mon bro ont pas été
inondée., ici hier y’a eu une panne d’électricité. Je sais pas pourquoi ce
matin je suis sensible, il pleut encore . Je me suis recouché j’ai rêvé je me
rappelle pas à quoi c’est toujours des gens que j’ai connus. Quand maman et
papa dinaient à la maison ils parlaient de leurs rêves je comprenais pas c’étais
toujours des gens qu’ils avaient connus dans les chantiers dans le bois des
personnages qu’on avait jamais rencontré. Papa avait pas beaucoup d’amis mais
une grande famille et une grande belle famille, ça lui convenait il se plaignait
pas de ça. Je pense que c’était un bon monsieur… Moi les amis que j’avait c’étais
les drops out de l’école que j’ai gardé trop longtemps. Je vous l’ai déjà écris,
j’aimais bien les plus vieux parce que ma sœur et son amie en parlaient tout le
temps. Un jour ça été moi le plus vieux qui niaisait à l’école, j’arrivais
quand même pas à me faire une blonde. Et j’ai foncé comme ça dans la vie d’échecs
en échecs avec beaucoup d’ennuis jusqu’au moment où la maladie mentale est apparue.
C’était pas mieux ça me donnait, comment dire ?, une défaite ? Une raison d’échouer
et de vouloir mourir, à la taverne ils parlaient beaucoup plus qu’ils
écoutaient, si je regarde en arrière on a vraiment voulus se débarrasser de
moi, c’est pas de la paranoïa une pneumonie ça tue. Je raconte toujours la même
histoire, les copains qui disent n’importe quoi, le parc où on regardais passés
les voitures de ceux qui travaillaient. On restais là en disant moi, moi, moi,
je ferais pas ça assis dans l’herbe en rêvant de partir. Je l’ai fait beaucoup
plus tard. Bonne journée !
11/07/2024
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