lundi 29 juillet 2024

 

Bonjour ! Ce matin j’ai envie de vous écrire à propos d’une dédicace qu’un prof m’avait fait dans son livre, c’était écrit « Question de prendre tout son temps » c’est quelque chose qui m’a vraiment ralentis et sortis de mes mauvaises habitudes voilà plus de trente ans. Je prend mon temps c’est bien la seule chose qui m’appartiens et je vous écris… Y’a John Mayall qui est décédé un grand, le grand du british blues qui a fait connaitre et apprécié cette musique par des professionnels qui l’ont joué et des auditeurs qui ont développé la connaissance de ses racines. Je dirais que c’est la source du rock, le blues c’est l’essence de tout ce qu’on peut entendre jusqu’à Stevie Ray Vaughan. C’est une grande école du feeling, du sentis technique pour un mode de musique qui renouvelle les sources. J’avais beaucoup aimé le cours de discours poétique mais comme toujours j’allais trop vite je suivais pas les directives mais je me sentais chez moi on m’a dis, et c’est pas rien, que j’étais, que je suis un poète. Je reviens à Mayall qui a marqué des millions d’auditeurs avec son disque Jazz blues fusion les deux modes de musique s’y rejoignaient parfaitement… être poète c’est pas ce qu’il y a de plus simple mais ça donne du sens autant j’aimais les bluesmen autant j’aimais les poètes ces arts m’inspirent encore aujourd’hui, j’aimais beaucoup improvisé trois quatre accord à la guitare quelque chose qui ressemblait à du blues avec des mots improvisés que les enfants aimaient beaucoup c’étais y’a longtemps et c’est de ma génération comme dis la chanson. On entend plus beaucoup de blues à la radio, je crois que j’écoute pas les bonnes stations. Je pense quand même à Purple Rain de Prince qui pour moi est un excellent blues. Y’a les puristes qui s’en tiennent à un mode, moi je crois qu’aujourd’hui le blues est fait de métissage. La poésie est présente partout du rap old school au be bop. Je sais on dis du blues qu’il ne peut être que noir c’est discutable. Les bluesmen blanc ont fait connaitre cette musique et l’ont remis à la mode du jour. Les noirs des racines le jouent toujours avec autant d’âme. On dis au revoir à monsieur Mayall on le souhaite au paradis des bluesmen, je sais qu’il inspireras aussi des poètes. Bonne journée !

29/07/2024


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