Bonsoir! Bonjour ! Je suis désolé pour ceux et celles qui
lisent mon livre. Ma façon d’écrire et mon propos ont la même « tonalité »
sur mon livre et sur mon blog. Je suis incapable d’écrire autrement. Hier je
suis allé à la répétition théâtre ma tête virevoltait entre le génial et le
moins que rien, c’est fatigant. J’arrive pas a rester bien un long moment, je
suis un usurpateur j’ai jamais été écrivain juste un têteux. C’est assez
terrible mon manque d’estime pourtant je fait de mon mieux. Je me souviens plus
à quoi j’ai rêvé cette nuit. Pourtant la littérature, les livres ça a toujours
été ma passion. La lecture pour moi ça a toujours été un refuge dans mon
quotidien déglingué jusqu’ici ça m’a permis de survivre à plusieure tempêtes psychiques
et psychiatriques. Que ça je n’ai eu que ça, je demande encore une fois votre
indulgence. Je salut les fidèles lectrices du blog, si vous n’avez pas mon
dernier livre c’est toujours possible de le commander. J’aime bien les répétitions
avec les gens du théâtre aphasique et de l’institut sans oublier les
impatients. J’essais toujours de me rétablir c’est jamais exactement comme je
voudrais mais ça avance. J’essais de me souvenir à quoi j’ai rêvé mais c’est un
grand ratage, je me répète. Je retravaille pas les textes j’aime les laisser
crû, souvenir d’école secondaire… Je reviens pas là-dessus c’est pas
intéressant vous me direz c’est pas à moi de juger c’est aux lectrices. Quand j’écris
c’est une espèce de fin du monde de fin d’un monde dont j’arrive pas à me débarrasser.
Déjà je vie dans le souvenir, les actes manqués parfois c’est à quoi bon. Je ne
tiens que cinq où six lecteurs, lectrices. J’abandonne pas, je sais pas où je
vais mais j’abandonne pas. Hier j’ai été pris dans une foule de gréviste métro
Papineau . Un gros et grand gars noir s’est installé près de moi et a craché à
mes pieds c’est dégueulasse, j’ai changé de place. Un poème :
Entre deux lignes
De mots où de coke
Défuntisé au plus sacrant
La mort me guette
La plume me traite
Le temps le temps
Et l’an élan
L’éléphant
Voilà pour cette nuit c’est la chute, la conclusion, l’épilogue.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt
!!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!
12/12/2023
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