Dojo

Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui on change l’heure dans les bars à deux heures il seras trois heures et moi j’aurai dormis une heure de moins… Je sais pas comment ça va se présenter pour la lecture de LaPresse+. Je rêve encore de voyage mais avec la pandémie Covid dix-neuf ça s’annonce difficile… Les chanceux de Québec vont avoir une exposition Frida Kahlo et Diego Rivera au Musée des Beaux- Arts, je crois que pour un week-end je vais aller voir  à Québec, ce sont deux figures marquantes de l’art contemporain. J’irais bien voir les murales à Mexico mais je trouve pas ça rassurant… Je pense que pour Rivera on peut parler d’art révolutionnaire c’était au début du siècle précéden,t à l’époque de Léon Trotsky… Rivera avec ses murales a influencé tout l’art urbain ce qu’il y a sur les murs des villes modernes a largement été inspiré par lui Montréal n’y échappe pas… Je pense aux traits épurés post-industriel de Zilon… Bon! Je reviens avec mon senti, cette nuit j’ai dormis, j’ai un vers d’oreille j’entends à répétition la musique d’une émission de télévision… Hier avec l’ami on a parlé de la mort c’était plutôt léger on se sent pas près à partir et on préfère croire qu’il y a quelque chose après… J’essais de me grounder sur l’émotion, c’est difficile j’écoute ce qui me parle mais j’y arrive pas je retrouve les mots quand je fais le geste d’écrire, j’entends parler dehors c’est quand même pas encore assez chaud pour y passer la nuit… Je reviens pas sur la thématique de l’itinérance, je pense à une copine que j’avais dans la trentaine elle était très jolie mais très malade, une bi-pôlaire une maladie très difficile…. Elle est écrivaine, autrice comme on dis maintenant. Les plus grands talents sont je crois chez les gens qui ont souffert le plus… Souvent, la copine, avec la maladie venait les déménagements qu’elle se faisait prescrire par le médecin parce qu’elle ne payait plus le loyer pour cause d’insalubrité… C’est loin tout ça y’a longtemps que je l’ais vue j’espère qu’elle se rétablis… Hier je regardais une émission de télé sur les produits du terroir en France, ça m’a fait réaliser comment je suis urbain, comment je deviendrais pas maraicher. J’avais des souvenirs du jardin communautaire, je détestais pas ça, ça me laissais indifférent… Je préfère être le client du cultivateur… Je penses aux communes de l’époque du retour à la terre, je sais pas si y’a encore des jeunes qui s’essayent là-dedans, on est quand même à l’époque des voyages en avion et des voitures électriques… Voilà! C’est presque terminée pour cette nuit. N’abandonnez pas je vais essayer de terminer avec quelque chose qui a du sens, mais est-ce si important? Lentement j’y arrive comme dans un long bégaiement. J’ai mis mon pull j’avais froid, là c’est la vrai chute, la conclusion toujours de la même façon. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard