dimanche 1 mars 2020

Option


Bonsoir! Bonjour! Je suis vidé, l’inspiration me manque. J’ai dormis en fin d’après-midi après avoir souper de côte de porc… Chez la voisine y’avait un gars qui gueulait, je sais pas pourquoi elle le tolère chez elle… J’ai sommeil, j’aime bien les photos de voyage en Floride de la super-maman, j’ai regardé une émission télé sur les dépendances à l’écran, moi je vous donne à lire je crois que c’est mieux comme ça… Encore hier je lisait une critique de livre où on félicitait l’auteur de pas utiliser le « je » la première personne du singulier, moi j’arrive pas à mettre en mots un autre que moi. Égoïsme? Narcissisme? Je sais pas encore une fois écrire comme un autre très peu pour moi, sans prétention d’écrire de la grande poésie… Souvenir d’un voyage à Cuba, les journées passées dans le hall de l’hôtel et les longues marches sur la plage… Je me cherche une destination pour le prochain voyage après le coronavirus le covid-19… Je pense encore à Rome où à un autre séjour à Paris, je me prendrais un hôtel rue Mouffetard dans le cinquième… Ce seras probablement l’automne prochain, quand je regarde les émissions voyage à la télé je me sens partir. Je suis loin de mon senti avec ça, la répétition… Tournez ça à la première personne du pluriel c’est difficile la seule chose partagée c’est la maladie mentale, nous sommes quelques un comme ça dans la douleur mais aussi dans le rétablissement… Vous voulez probablement lire quelque chose de différent un poème :

La chair arrachée

Douleur sans cicatrice

La gueule plombée 

Le vice
dites-moi aimé


Portant le cilice

Calice calice l’office

Langage ciré

Attendant la police

De l’amoralité

Du moins la prémisse



Voilà! Une pensée pour tous les grands poètes, Vous aimez la poésie? On me confond parfois avec un poète fréquenté dans ma dérive… Demain c’est métro boulot dodo, mes lecteurs de Deux-Montagnes sont de retour… Ils sont tous là qui m’attendent dans le détour, ma paranoïa, pourquoi pas y aller comme ça dans la douleur et dans la peur, ça ne vous dis rien, ça me soulage… Ils passent par la passerelle ils veulent échapper aux caméras de surveillance, bon! Mon senti c’est toujours la nuit, écrire en espérant arriver à des textes forts pourtant c’est souvent la mort sans trésor… Ces textes c’est pas de l’or! À la radio ce matin on parlait encore du mythique écrivain… J’ai hâte de voir ce qu’ils ont fait au Théâtre du Nouveau Monde des textes proposés… Les nôtres pas ceux du grand écrivain décédé y’a pas longtemps… Voilà! J’ai presque terminé, j’envie les snowbirds en Floride qui peuvent certainement siroter un café sur une terrasse, je crois qu’ils préfèrent les cocktails. Je sais pas trop comment terminer,  c’est la mauvaise habitude, Je vous aurai donnez à lire j’espère que c’est pas trop pénible. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Revenez si ça vous a plu. À la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!

Bernard

1 commentaire:

  1. J'aime bien ton poème. Nous profitons bien du beau temps malgré quelques journées fraîches... La chaleur est revenue et les terrasses on n'y va pas si souvent... Bonne journée 😘

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