mercredi 3 octobre 2018

Au présent

 Bonsoir! Bonjour! J’aurais aimé, mais j’aurais aimé tous ces jours que j’ai que j’ai contre la nuit et la pitié, le blé le blé… Je voulais dire mal-aimé et ses baisés, le temps des fleurs frisées et la poésie essayé puisque vous savez vous ne me lirez qu’au jour couché aux heures brisés et c’est jugé c’est jugé je suis pas un lettré juste un lecteur un peu pédé avec la peur avec la peur de la sexualité au cœur monté en manque d’idée, dites-moi dites-moi où vais-je allé avec la peur sans métier et au malaise donné, vous me corrigerez vous me corrigerez écrire comme ça c’est pas s’amusez n’importe qui peut s’y prêtez, vous savez vous savez… Que fait tu là? Que fait tu là? J’entends le glas et le trois mat des mousaillons qui tendent les bras, on me la fait pas, on me la fait pas, j’apprends toujours que sur le tas au bout de mes pas. Pourtant les bras c’est sacré bras sont sans compas et sans éclat. Que vais-je dire? Je ne sais pas j’en fais un plat, toujours heureux d’être dans le gras, le vers je le mesure pas il est comme ça tout un cola américain des états… J’ai pas d’école que des fariboles un cœur qui écoute le sol qui veux dire sibole comme une tête folle. Un autre jour, une autre nuit dans le puit des ennuis des rêves interdits comment ais-je dis? C’est de la rimaille de la ferraille de mill-machine qui brise l’échine, je patine, je patine dans un texte sans glace qui cherche une place à la façon d’un agace, ce que ça veux dire rien de sensé juste un délire on a vu pire amateur de soupir. Et j’aimerais tant j’aimerais tant comme un poète sbire, rire et rire à ces mots et sentir. Dites moi sire vous appréciez ce que je veux dire? Parce-que moi je sais pas je vise je rate et je mire… Je ne bois plus d’élixir. Voilà pour l’amour et le discours du haut d’une tour où chauffe un four pour, pour je ne sais quelle cour à quel détour. J’aurai aimé sans larme et sans pitié avec les mots comme arme pour battre la destiné… Sans éclat et sans reine de Sabbat je reste fat… Dite moi, dite moi c’est suffisant un toit et des armoires pour y mettre les grands et les petits plats… C’est des niaiseries que je laisserai à la conciergerie pour y mettre un peu de poésie et de sentis. Allons donc, allons donc, j’écris comme on souffle dans une conque où peut-être une arme que l’on tronque… Illégal comme un shoot de crystal, une pipe de métal je n’irai pas au bal, voilà pour terminer on pense au pal, au pays de l’Oural et à ma capitale. Je termine comme si j’avais écrits avec une barre à mine… Plus de mots pour la nuit de votre lecture je remercie. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

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