mardi 16 octobre 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai enlevé le climatiseur, tout s’est bien passé. Il va faire un peu moins frais chez moi. Ai reçu un appel téléphonique d’un concours trop simple, j’ai pas rappelé je soupçonne une arnaque avec mon numéro de téléphone. Ai  rangé le climatiseur dans sa boîte dans le placard. Y’a pas trop de sensibilité dans ce que j’écris là, c’est l’après-midi le temps passe et j’écris. Je pense à San Francisco, à une réunion demain avec la direction de l’institut universitaire de santé mentale de Montréal. On va discuter cannabis, de la légalisation, de la mise en application de la nouvelle loi moi je suis pas d’accord avec ça. Je le répète il vas y avoir beaucoup plus de psychotique… Ai changé de jeans, le précédent est tout déchiré ça beau être la mode des rock stars, je n’en suis pas une… La matriarche à l’époque appelait ça des « évralls » pour « overall » des pardessus tout. Je sais pas pourquoi je pense déjà aux vêtements que je vais amener dans mes bagages en voyage. Tout est calme, sur la rue y’a beaucoup de véhicules de l’atelier municipal pas loin… En voyage pour me déplacer au moins une journée je vais me louer une bicyclette électrique, semble que c’est bien dans les pentes de San Francisco. Le problème c’est comment la ranger quand tu veux visiter des endroits. Je veux voir où ça a débuté ce mode de vie hippies qui a laissé beaucoup de traces dans la vie contemporaine, je pense aux peace and love et au patchoulis entre autre, ça se voulait profond mais s’est resté superficiel en même temps y’avait mai soixante-huit en France, toute cette belle jeunesse qui allait bientôt devenir les comptables du monde moderne. Question valeurs ça prend du temps pour changer, dans mes ivresses je disais souvent qu’avant de changer le monde fallait se changer soi, je crois que j’ai réussis mais ça reste difficile à tous les jours. Le temps qu’il fait aujourd’hui me fait penser à Londres, pluvieux et nuageux. Je pense au musée Courtauld… Pour sa collection de peintures impressionnistes et post-impressionnistes. Je m’y connais pas trop mais c’est beau… Vous vous souvenez hier j’attendais un appel téléphonique, je l’ai eu c’était ce foutu concours avec un numéro confidentiel. On vient de me rappeler pour le cadeau d’une valeur de deux cent dollars, j’y crois pas y’a toujours un prix à payer… Je sais pas trop comment terminer avec mon senti, je suis pas très ému, les éboueurs passent j’aurai même pas réussis à faire ça, je me rappelle la matriarche voyant que je ne fréquentais plus l’école disait que j’allais finir vidangeur, mais non, j’y suis même pas arrivé, la vie à continuer et elle ne m’y a pas amené. Voilà, je suis rendus à la chute, quelques mots encore pour terminer. C’est toujours la même façon, encore une fois je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

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