vendredi 12 octobre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce matin je suis allé prendre des photos d’avions à ville Saint-Laurent. J’ai pris conscience que je suis encore capable de marcher, c’est des avions que je voulais photographier mais j’ai jamais vus autant de voitures. Si rien ne change je vais être bon pour marcher dans mon voyage et comme on était dans l’ouest de Montréal, j’en ai profité pour pratiquer mon anglais qui est pas trop mal, j’ai demandé des renseignements à un gars qui travaillais chez Air Canada, il portais une veste avec l’unifolié rouge le sigle d’Air Canada, j’ai jasé un peu à l’arrêt d’autobus avec un vieux monsieur qui s’est payé ma gueule… Ville Saint-Laurent c’est des souvenirs d’il y a plus de trente ans où je ramassais des ballots de papier pour le recyclage, l’hiver c’était très froid, on faisait aussi la tournée de bureaux gouvernementaux à Montréal on y cueillais des poches de papier, surtout de la première classe du papier informatique. C’est la nuit de vendredi à samedi, y’a plein de jeunes hommes qui vont en boîte comme disent les français plusieurs espèrent rencontrer la femme de leurs vies mais l’alcool et les femmes ça a jamais fait bon ménage. Je sais vraiment pas ce que je fais de pas correct pour me sentir persécuté comme ça, le mot clé c’est sentir à partir de là je peux vous écrire sur mon senti… Je pense au stress post traumatique des vétérans de l’armée Canadienne, comment ce sont des hommes brisés, dans la nuit des voitures passent on y écoute de la musique planante, éthérée je dirais. Étrangement hier en revenant de ville Saint-Laurent je me sentais en voyage, c’est ce que la proximité des avions provoque chez moi. Je me suis couché tôt j’arrivais pas à dormir voilà pourquoi je vous écris… Dans l’autobus trente-quatre Sainte-Catherine j’ai croisé une agent de voyage d’Air Canada. Ce matin dans LaPresse+ c’est la section voyage… Vous voyez je suis obsédé par tout ce qui s’appelle partir, encore deux saisons à attendre et San Francisco me voilà sur les ailes d’Air Canada. Ai parlé un peu avec mon lecteur de Deux-Montagnes, c’est certain que j’ai réservé un peu tôt mais j’en serai que plus heureux quand la date de départ vas arriver. La patience, attendre, c’est une chose que j’ai mis beaucoup de temps à assimiler, maintenant j’arrive toujours tôt à mes rendez-vous. Minuit arrive et j’ai presque terminé, comme il est beaucoup question d’avions je veux pas trop écrire de chute… Une conclusion pour ce texte qui finis et cette nuit qui débute… Je vous parlais d’attendre pour moi c’est comme un terrain neutre, un intermède dans ma vie, j’ai attendue longtemps à l’urgence pour pas grand-chose… Voilà! J’y suis presque, j’ai trouvé à vous écrire, vous pourrez lire quelque minutes Voilà, je termine, je vous aurai encore raconté. Je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là si vous permettez j’étire encore avec quelques mots. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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