Bonsoir ! Bonjour
! Ce soir il fait plus frais on est bien. Je suis solidaire de toutes les personnes
agées qui trouvent pas à se mettre au frais. Je sais pas si à soixante quatre
ans bientôt soixante cinq je dois me considérer comme une personne agée. Y’a
une compagnie qui a achetée deux où trois cent avions des Airbus et des Boeing.
Les départs vont être plus fréquent dans un an, j’ai hate. J’espère que tout va
être rétablis. Je deviens joyeux quand je vois des avions à la télévision … Je
m’ennuie de l’aéroport, j’irai bientôt. Dans deux mois j’arrive à ma pension de
vieillesse. J’écris ça ici et je sais très bien qu’il y à des fraudeurs qui
vont essayer d’en profiter. Y’a un gars à la télévision qui racontais que
soixante cinq ans c’était trop vieux pour prendre sa pension qu’on décédais dans
pas long, un où deux ans… J’espère vivre encore un bon moment ne serait ce que
pour partir à nouveau. C’est toujours mon journal du confinement même si c’est
permis de sortir je reste chez moi, j’y vais encore avec mon senti dans ce que
j’écris y’a toujours l’espoir de sortir de l’ombre, je finirai un peu avant de
mourir, je pense au « poètes vos papiers ! » de Léo Ferré, parfois je
me demande à quoi ça rime cette écriture… Tout à l’heure y’avait un parfum de
Pernod de pastis où de réglisse maintenant ça sent le steak grillé … Y’a
personne qui a raconté les nuits des années quatre vingt dix j’étais que le public
qui buvais et qu’on tournais en ridicule. Je suis content d’être sortie de ces
nuits folles, ce soir je crois que les bars sont ouverts mais y’a personne avec
qui discuter de toute façon j’entrais dans un pour aller dans un autre. Je pense à ces ateliers d’écriture de la
fédération des loisirs littéraires du Québec. Le mot loisir qui rime avec
plaisir c’est pas toujours ça avec le blog je crois que j’amène ça à un autre
niveau. Ça compte pas que j’écrive, les femmes disaient que tout le monde peut
faire ça … Quoi que c’est sur la durée, ne pas abandonner tout de suite. Parfois
je me dis que l’écriture c’est pour les efféminés pourtant y’a de grands
écrivains virils n’empêche quelques un ont mis fin à leurs jours, je sais pas
trop si c’est pour cette raison là …
Bon! Je vais m’arracher des mots de la tête et du cœur, dans mes virées nocturnes
je me plaisait à dire que je travaillait dans la construction alors que c’étais
pas vrai du tout j’étais journalier dans des maisons où on changeais les portes
et les fenêtres, je ramassais les restes pour les mettre au chemin. Ma vie c’était
trente six métiers trente six misères. Voilà ! C’est la conclusion l’épilogue,
comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Encore un peu, à la
prochaine je l’espère !!! Ciao
Bernard
Quand même encourageant la construction d'avions, faisons confiance à l'avenir et il nous restera du temps pour voyager. Je ne crois pas que l'écriture soit si facile, il faut un savoir-faire que tu as certainement. Bonne soirée 🍅
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