mardi 29 juin 2021

Solidaire

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir il fait plus frais on est bien. Je suis solidaire de toutes les personnes agées qui trouvent pas à se mettre au frais. Je sais pas si à soixante quatre ans bientôt soixante cinq je dois me considérer comme une personne agée. Y’a une compagnie qui a achetée deux où trois cent avions des Airbus et des Boeing. Les départs vont être plus fréquent dans un an, j’ai hate. J’espère que tout va être rétablis. Je deviens joyeux quand je vois des avions à la télévision … Je m’ennuie de l’aéroport, j’irai bientôt. Dans deux mois j’arrive à ma pension de vieillesse. J’écris ça ici et je sais très bien qu’il y à des fraudeurs qui vont essayer d’en profiter. Y’a un gars à la télévision qui racontais que soixante cinq ans c’était trop vieux pour prendre sa pension qu’on décédais dans pas long, un où deux ans… J’espère vivre encore un bon moment ne serait ce que pour partir à nouveau. C’est toujours mon journal du confinement même si c’est permis de sortir je reste chez moi, j’y vais encore avec mon senti dans ce que j’écris y’a toujours l’espoir de sortir de l’ombre, je finirai un peu avant de mourir, je pense au « poètes vos papiers ! » de Léo Ferré, parfois je me demande à quoi ça rime cette écriture… Tout à l’heure y’avait un parfum de Pernod de pastis où de réglisse maintenant ça sent le steak grillé … Y’a personne qui a raconté les nuits des années quatre vingt dix j’étais que le public qui buvais et qu’on tournais en ridicule. Je suis content d’être sortie de ces nuits folles, ce soir je crois que les bars sont ouverts mais y’a personne avec qui discuter de toute façon j’entrais dans un pour aller dans un autre.  Je pense à ces ateliers d’écriture de la fédération des loisirs littéraires du Québec. Le mot loisir qui rime avec plaisir c’est pas toujours ça avec le blog je crois que j’amène ça à un autre niveau. Ça compte pas que j’écrive, les femmes disaient que tout le monde peut faire ça … Quoi que c’est sur la durée, ne pas abandonner tout de suite. Parfois je me dis que l’écriture c’est pour les efféminés pourtant y’a de grands écrivains virils n’empêche quelques un ont mis fin à leurs jours, je sais pas trop si c’est pour cette raison là  … Bon! Je vais m’arracher des mots de la tête et du cœur, dans mes virées nocturnes je me plaisait à dire que je travaillait dans la construction alors que c’étais pas vrai du tout j’étais journalier dans des maisons où on changeais les portes et les fenêtres, je ramassais les restes pour les mettre au chemin. Ma vie c’était trente six métiers trente six misères. Voilà ! C’est la conclusion l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Encore un peu, à la prochaine je l’espère !!! Ciao

Bernard

 


1 commentaire:

  1. Quand même encourageant la construction d'avions, faisons confiance à l'avenir et il nous restera du temps pour voyager. Je ne crois pas que l'écriture soit si facile, il faut un savoir-faire que tu as certainement. Bonne soirée 🍅

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