Bonsoir !
Bonjour ! Le deuxième vaccin s’en viens. Les naturistes végan sont tout heureux
comme des idiots de ne pas s’être fait vacciner moi je les enverrais aux Indes
où ils manquent de tout et viendrais sans souci se faire vacciner ici. C’est
mon journal du confinement un peu plus polémique,
l’ami de Brossard parlait de Libarrrté!!! Ce covid-19 ça nous auras gâché la
vie. Dans le parc une gang joue au soccer l’autre au football. Le roman que je
viens de lire exprime bien la solitude de l’écrivain bipolaire, l’hospitalisation
à répétition. Les sentiments bousculés, les départs répétés. Je pense à ce qui
me manque une famille, je suis trop vieux pour les relations avec des jeunes
dames comme dans la chanson il suffirait de presque rien https://www.bing.com/videos/search?q=il+suffirait+de+presque+rien&view=detail&mid=F5FBB44503E347CB0921F5FBB44503E347CB0921&FORM=VIRE Je reviens avec mon senti, dites moi dites
moi qui viendras par ici dormir dans mon lit m’embrasser jusqu’à minuit quand
je me serai blottis dans ses bras de petite amie. On a beau écrire la nuit c’est
toujours l’amour pourtant je n’ai plus de coup de foudre mon affect s’est
apaisé. Ça sert à rien de singer les grands écrivains, je dois y aller avec ma
voix mon vocabulaire… Je sais quelques un n’apprécient pas les beaux mots et
crient à la fin des relations épistolaires. Moi j’y crois à ce que j’écris à la
place toute petite que ça prend dans l’univers des lettres, les mots sont
encore et toujours ma blessure, l’expression douloureuse de mon être. Le temps
passe et dans les médias on lui donne des airs de fin du monde pourtant malgré
tout il faut vivre chercher le bien chercher le mieux… Je sais pas pourquoi les
grands désespérés font d’honnêtes écrivains. Je voulais tant écrire avec le
vent mais j’ai pas su parler du dedans du crû pourtant pourtant dites moi mon
du, tout ça pour quelques écus je me retrouverai à la rue. Pas une maudite
cenne c’est assez pour me faire de la peine avant d’aller voir la Seine pour après
monter sur la scène. Ouais! Je vais essayer d’écrire des phrases qui ont de l’allures
qui vous parlent à vous et à vous… J’aimerais dont ça avoir du vocabulaire, le
mot précis pour l’émotion, la douleur s’est apaisée je sais quand même pas dans
quelle clefs m’accorder. Souvenir de la maison de chambres qui reviens souvent
même après presque trente ans. Je pense à une voisine qui a cessé de se faire
soigner quand son psychiatre a pris sa retraite je sais pas ce qu’elle est
devenue. Elle m’avait offert un recueil de poèmes choisis de Verlaine le
premier étant d’une obscurité exotique. Je sais qu’elle faisait des collages qu’est
devenue son œuvre ? Parfum de frites et de pizza livrées du restaurant, j’ai
quand même bien mangé ce soir … Les jours s’étirent, quelques mots encore
pour conclure. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! On y
arrive à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!
Bernard
Un bon texte avec cette très belle chanson du regretté Reggiani que j'ai eu le bonheur de voir en spectacle, première rangée...Je crois aussi que l'écriture et la lecture sont là pour rester, ça garde le monde en vie. J'ai découvert de nouveaux coins à vélo hier, nous avons une belle région.Bonne journée 😍
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