lundi 28 juin 2021

Fifrelin


 

Bonjour ! Bonsoir ! Fait chaud ! Le Québec est au vert. Je vois les gens qui vont courir pour être en groupe. Moi je prends mon temps en milieu de semaine j’irai à la librairie, y’a trois titres que je veux me procurer. Cette semaine c’est l’anniversaire d’un grand artiste, multidisciplinaire je dirais, de ma famille. À ses côtés je ne suis qu’un fifrelin. Je deviens triste en essayant d’écrire de mon mieux, j’essais de vous «nourrir » de mes mots abandonnez pas. J’aimerais bien vous écrire mes passages en psychiatrie à l’hôpital, comment c’est long attendre la consultation avec le psychiatre pour sortir aussi vite d’avoir trop peur qu’on me garde là le reste de mes jours. Parfois y’avait des stagiaires qui s’occupaient de moi mais j’y croyais pas je croyais que j’allais rester comme ça, psychose à répétition et suicidaire. Y’avait beaucoup de romance dans mes hospitalisations tout ces grands écrivains qui ont eux affaire à la psychiatrie, à la maladie mentale. J’arrivais pas à étudier, je me faisait hospitalisé beaucoup de difficulté à « m’intégrer » n’empêche je rêve encore de partir après avoir perdus tant de temps dans les bistros, les cafés, les tavernes et les brasseries. Ça a pris du temps avant que je me fasse un chez moi. La liberté c’est toujours l’affaire du passeport et des deux vaccins. Y’a une journée férié mais je suis bien d’accord avec ceux qui suspendent les célébrations après la découverte de ces charniers remplis de pauvres enfants. Ça me fait mal d’écrire ça, rien que d’y pensés … Je suis à bout de prière ceux qui voulaient que je prie ont commis des actes barbares. Je reviens à mon senti à mon état de solitaire. À cette douleur pour les incompris, j’écoute ce que ça dis. Je répète j’aimerais bien avoir une écriture plus brute plus crue, écrire comme un simple d’esprit quoi que c’est peut-être ça … Les mots avancent reculent sans désir autre que de rester là avec un vocabulaire de sourd et muet , à rêvé de choses simples… L’école est finie, les enfants vont s’amuser, je pense à ceux qui sont disparus peut-être que l’été ils retournaient en forêt avec leurs familles. Petit gars on a tous joué aux cow-boys et aux indiens, on se faisait des arcs et des flèches moi j’ai pas joué assez longtemps. Parfois on portais des plumes de poules et on se maquillait pour faire plus vrai. Je veux pas insulter personne ces enfants ils avaient le droit de vivre. Je suis pas fier de savoir que mon peuple en a colonisé un autre. Cette histoire là elle est pas terminée, quelques mots encore et j’ai finis de vous déranger. C’est la chute l’épilogue la conclusion toujours aussi difficile. J’espère que ça vous plait, le précédent je crois pas. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Voilà ça y est , à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard

1 commentaire:

  1. C'est important de parler de ces pauvres enfants maltraités par les communautés religieuses, tu le fais bien. Pas de Fête du Canada nulle part serait la moindre des choses. J'espère que tes lectures te plairont. Bonne journée très chaude☀️

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