mercredi 9 juin 2021

Prix

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui j’ai fait la sieste, ai rêvé que j’étais avec de vieux copains. C’étais l’hiver la saison des prix littéraire que j’avais raté, on croyais pas à mon récit la position dans laquelle j’étais. Nous étions trois dans les toilette de l’école on se félicitais de ne pas boire d’alcool. Un de nous portais un manteau aux couleurs de l’équipe de hockey locale. J’y croyais pas, j’y croyais plus à la littérature. Je me suis réveillé en pensant au collègue décédé c’était un professeur de littérature qui voyais plus que de l’écriture… Une confidence difficile ce midi je vais chez le denturologue … Ai terminé la lecture d’un roman pas très bon, il est passé minuit je pense aux relations troubles que les auteurs ont avec leurs éditeurs moi j’en ai pas d’éditeur et de relations. Y’a toute la difficulté d’écrire quand on ne peut lire la recherche de ce qui nous inspire. Ça reste encore et toujours mon journal du confinement je garde la main. Ai lavé la vaisselle je sais pas pourquoi cette semaine je pensais au quartier Limoilou à Québec peut être à cause de lis moi Loup ? Bon ! Les terrasses sont ouvertes les amis sont heureux ils y vont, j’ai longtemps fait ça flâné en prenant une bière en regardant les passants aujourd’hui ça m’intéresse plus si je recommençais ce serais à Paris. Y’avait ce camarade de la bouteille qui me suivait un moment, je buvais trop lui arrêtais avant d’être trop ivre. C’est vraiment la nuit, le climatiseur fonctionne, souvenir de cette terrasse sur Beaubien pas loin de Frontenac je croyais que je l’avais l’affaire j’étais idiot je mangeais du gâteau. Y’avait pas de femme qui voulait me suivre dans mes habitudes d’alcoolique aujourd’hui je comprends un petit peu. Souvenir de ce lourd sentiment de solitude que je « soignais » avec de l’alcool la folie s’emparais de moi. L’alcool c’est le maitre de plusieurs drames, le regret c’est pas assez faut arrêter. Tout ça c’est écris d’un jet, les gérants de débit de boisson savaient que je voulais écrire ils essayaient de m’expliquer la différence entre un lapsus et une métaphore ça m’a pris du temps avant de comprendre. Y’a de l’eau qui a coulé sous les ponts, je crois être un écrivain honnête … La nuit c’est toujours tranquille et de cette nuit j’aurai tiré le jour. Quelques mots encore et j’ai presque terminé, j’ai coupé ma routine de télé ça fait du bien. J’emprunte plus mes rêves j’en fait de vrai. Je gagnerai pas de prix mais j’écris. J’espère que ça vous plait où au moins que vous avez une réaction. Je pense à vous tous. C’est terminé je vais me coucher comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Continuez encore un peu vous y êtes presque c’est l’épilogue, la conclusion j’aimerais vous voir à une prochaine je l’espère !!! Cette nuit je termine avec beaucoup de difficulté !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard


1 commentaire:

  1. Je lis un roman historique du temps des Médicis et ceux de Michel Jean, journaliste innu. Nous aurons notre deuxième vaccin samedi, bien contente. Intéressant ton rêve non emprunté 😉

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