Bonsoir !
Bonjour ! Aujourd’hui j’ai fait la sieste, ai rêvé que j’étais avec de vieux copains.
C’étais l’hiver la saison des prix littéraire que j’avais raté, on croyais pas
à mon récit la position dans laquelle j’étais. Nous étions trois dans les toilette
de l’école on se félicitais de ne pas boire d’alcool. Un de nous portais un
manteau aux couleurs de l’équipe de hockey locale. J’y croyais pas, j’y croyais
plus à la littérature. Je me suis réveillé en pensant au collègue décédé c’était
un professeur de littérature qui voyais plus que de l’écriture… Une confidence
difficile ce midi je vais chez le denturologue … Ai terminé la lecture d’un
roman pas très bon, il est passé minuit je pense aux relations troubles que les
auteurs ont avec leurs éditeurs moi j’en ai pas d’éditeur et de relations. Y’a
toute la difficulté d’écrire quand on ne peut lire la recherche de ce qui nous
inspire. Ça reste encore et toujours mon journal du confinement je garde la
main. Ai lavé la vaisselle je sais pas pourquoi cette semaine je pensais au
quartier Limoilou à Québec peut être à cause de lis moi Loup ? Bon ! Les terrasses
sont ouvertes les amis sont heureux ils y vont, j’ai longtemps fait ça flâné en
prenant une bière en regardant les passants aujourd’hui ça m’intéresse plus si
je recommençais ce serais à Paris. Y’avait ce camarade de la bouteille qui me suivait
un moment, je buvais trop lui arrêtais avant d’être trop ivre. C’est vraiment
la nuit, le climatiseur fonctionne, souvenir de cette terrasse sur Beaubien pas
loin de Frontenac je croyais que je l’avais l’affaire j’étais idiot je mangeais
du gâteau. Y’avait pas de femme qui voulait me suivre dans mes habitudes d’alcoolique
aujourd’hui je comprends un petit peu. Souvenir de ce lourd sentiment de
solitude que je « soignais » avec de l’alcool la folie s’emparais de
moi. L’alcool c’est le maitre de plusieurs drames, le regret c’est pas assez faut
arrêter. Tout ça c’est écris d’un jet, les gérants de débit de boisson savaient
que je voulais écrire ils essayaient de m’expliquer la différence entre un
lapsus et une métaphore ça m’a pris du temps avant de comprendre. Y’a de l’eau
qui a coulé sous les ponts, je crois être un écrivain honnête … La nuit c’est
toujours tranquille et de cette nuit j’aurai tiré le jour. Quelques mots encore
et j’ai presque terminé, j’ai coupé ma routine de télé ça fait du bien. J’emprunte
plus mes rêves j’en fait de vrai. Je gagnerai pas de prix mais j’écris. J’espère
que ça vous plait où au moins que vous avez une réaction. Je pense à vous tous.
C’est terminé je vais me coucher comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là !!! Continuez encore un peu vous y êtes presque c’est l’épilogue, la
conclusion j’aimerais vous voir à une prochaine je l’espère !!! Cette nuit je
termine avec beaucoup de difficulté !!! Au revoir !!! Ciao
Bernard
Je lis un roman historique du temps des Médicis et ceux de Michel Jean, journaliste innu. Nous aurons notre deuxième vaccin samedi, bien contente. Intéressant ton rêve non emprunté 😉
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