mardi 20 août 2024


Bonjour ! Emily in Paris est revenue pour un mordu de Paris comme moi c’est du bonbon. Paris de cartes postales de mannequins et de designer. Des vêtements pour les jeunes filles, je crois que cette série est faites pour elles. Des images de soirées qui rappellent les goldens years, le début des années cinquantes. Un Paris aux nuits de reflets sur les pavées mouillés. Des images léchées sur parfois un Paris désert. Giverny, Monet, les châteaux pour la noblesse du fric et l’alcool présent un peu partout. Les plans cinématographiques qu’on a vus souvent mais dont on ne se lasse jamais… Dans le journal d’hier on disait des parisiens qu’ils étaient râleurs lors de mes courts séjours j’ai pas sentis ça.  Je continu mes activités contre la stigmatisation : https://www.facebook.com/share/p/tg1Xd.yGu1T7Hzjjf/  c’est la deuxième émissions je vous livre mon cœur je vous livre ma vie je pense à tout les amis, à toutes les amies qui se sont relevés du combat contre la maladie. Ils sont dignes et résilients, je dirais qu’on a mené le combat dans le maquis résistants devant la maladie. La bataille est toujours là même si on nous a vu retraité. J’aime pas le mépris de certains je devais fuir sinon j’y laissait ma peau. Pour moi ça faisait pas à l’école, pas plus au travail ne me restais plus que la maladie de la nuit, je me suis pas laissé mourir j’ai combattus les barbouzes nocturnes qui voulait m’arracher la peau. Je devais ouvrir un livre, lire, me laisser emporter dans le monde de l’autre, rêvé le Montparnasse de la belle époque fermé les yeux et m’y retrouver seul inconnus regardant les pavés pour y retrouver la trace des grands disparus  et déjà je suis vieux recueillant la tendresse pour une vieille âme seule. Chaque jour sans alcool, sans dope est gagné, la quête pour se faire un allié d’un type qui vous méprise est terminé… Hé oui ! Y’avait que ça la fuite et ne plus mettre les pieds dans ces endroits pour faux jetons. Et encore je dérivais on avait beaux être dans les trente glorieuses me restais que le combat à mains nues. J’ai vite appris que dans les batailles de rue la danse du boxeur est inutile. J’avais beau fouillé dans mes poches jamais un rond. Je vais dormir si je veux résister demain, respirer, reprendre mon souffle. Bonne journée !

21/08/20 

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