lundi 1 janvier 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! On entame la nouvelle année. J’écoute Museum TV en pensant à l’ami historien d’art j’en suis au fauvisme enfin c’est la vie de l’ami moi je m’y prend un peu tard pour les idées sur l’art. J’ai envie de vous donner ma recette de souper de ce soir voilà , Une poitrine de poulet taillée en cube, trois tranches de bacon à l’érable chacune coupées en trois, un oignon moyen tranché en cubes, deux gousses d’ail émincées, faire revenir le bacon dans une grande poêle ajouté l’oignon et l’ail faire revenir et doré rajouter le poulet tout ça a feu haut touiller tout ça jusqu’au moment où le poulet est cuit accompagné ça de pommes de terre et de carottes. Essayer vous verrez c’est très bon. J’en reviens aux arts ça m’a toujours fasciné j’ai jamais su pourquoi je reconnaissais si facilement un Rodin où un Calder pour les surréalistes y’a que Dali que je reconnais les autres comme Kandisky je connais pas leurs écoles parfois je confond avec le cubisme de Picasso mais au fond les œuvres nous parlent. Je racontais a l’ami sclérosé comment j’ai été ému quand j’ai vu les impressionnistes en vrai au Musée d’Orsay pour la première fois… Ça me rappelle mes cours d’art plastiques au secondaire je devais pas être très bon et l’enseignante m’étais antipathique ça aide pas. Je vous raconterai pas l’histoire du symposium de sculpture de Terrebonne je l’ai déjà fait et ça fait presque cinquante ans je me rappelle des sculpteurs Neveu, Geoffroy, Saucier, Payette, Huet y’en a d’autre que j’ai oublié j’avais bien aimé ce job ça m’a marqué. Un poème :    La nuit s’envole

                   Au  cœur du temps

                   Et toutes les folles

                    Volent à vent

                   Je les attends au sol

                   Tout en tourment

                    L’amant

                    Le monopole

                    Sans accident

 

C’est certain je suis pas Prévert ni Aragon encore moins Baudelaire. J’ai oublié de demander le permis pour la poésie… Encore une fois je demande à Émile qu’il nous envois de la neige « Ha comme la neige a neigé, ma vitre est un jardin de givre

                                     Ha comme la neige a neigé qu’est-ce que le spasme de vivre »

On peux parler longtemps mais c’est beau. Voilà c’est la chute !!! La finale !!! L’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! Ciao !!!

02/01/2024 


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