vendredi 26 janvier 2024

 

Rothko

 Hartung

Bonsoir ! Bonjour ! Encore une fois aujourd’hui j’étais plongé dans les œuvres d’art à la télévision. J’ai bien aimé l’émission sur Rothko et Hartung, un déraciné et un grand blessé de la seconde guerre mondiale. Des œuvres abstraites, je sais pas comment dire, une recherche plastique? Je trouve ça intéressant pour la réflexion que ça peux engendrer.  Rothko trouvais aliénant d’être un expressionniste abstrait, il a inventé le colorfield qu’on peut traduire par champs de couleur le critique Clement Greenberg étant le premier a nommer Colorfield Painting  Ses compositions sont faites uniquement de couleurs posées en à plat et qui parfois se superposent une critique a dis que Rothko peignait des émotions et qu’on ne pouvait pas passés à côté. Rothko a souffert d’un anévrisme qui a stoppé sa créativité il a mis fin a ses jours en mille neuf cent soixante dix inutile de dire que c’était un anxieux. Hartung quand à lui est un peintre et architecte français à l’avant-garde sinon le père de l’abstraction des courants dits informels, tachiste, gestuel, lyrique et l’action painting. Hartung se tiens à une certaine distance critique de Kandinsky. Hartung commence a connaitre un certain succès avant la seconde guerre allemande, pendant la guerre il est arrêté et interrogé on l’emprisonne, il est d’origine allemande mais il déteste les nazis il s’engagera dans La Légion Étrangère. Il quitte l’armée le huit septembre mille neuf cent quarante.. Après avoir été torturé en Espagne il se réengage dans La Légion Étrangère, il est blessé durant l’attaque de Belfort en mille neuf cent quarante quatre il est deux jours sans secours sa jambe se gangrène, il est transporté d’hôpital en hôpital dans des conditions précaires. On l’opère deux fois la première on l’ampute au genou et la deuxième à froid à la cuisse. Il vieillis avec une prothèse et deux béquilles. Naturalisé et décoré dans les années suivantes il participe à plusieurs expositions la critique Madeleine Rousseau écrit « C’est ainsi qu’une toile de Hartung c’est, sans doute, un moment de l’existence du peintre, mais, plus encore, un moment  de notre civilisation, avec les contraintes, les dangers les espoirs qu’elle apporte et qui, en grande partie déterminent l’attitude individuelle de chacun » En mille neuf cent quarante neuf il rencontre Mark Rothko. Il deviens un chef de file de l’art informel un précurseur de l’action painting. Il y a eu une rétrospective de son œuvre entre autre à Montréal et à Québec en mille neuf cent soixante neuf. Dans les années subséquentes il atteindras la maitrise et la renommé et remporteras plusieurs prix. Il décède le sept décembre mille neuf cent quatre vingt neuf et tombe dans un certain oubli. On a dis de lui qu’il était un homme de création et de liberté, il nous a quitté au moment où Leipzig, sa ville natale, retrouvais ses valeurs. Merci d’avoir lu jusque-là.





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