Bonsoir ! Bonjour ! J’arrive de dehors, il vente, il fait
pas beau, c’est la nuit il y en a qui cherchent un abri. Je sais pas quoi vous
raconter, la météo prévois une tempête pour samedi, c’est l’hiver à Montréal
les touristes qui voulaient de la neige seront servis. Parfois je suis méchant
y’a des personnes que je voudrais voir dans la rue, je sais pas comment elles
se débrouilleraient. Mais non ! Mais non ! Je souhaite ça a personne la
psychose dans la rue on en meurt. J’ai des souvenirs douloureux, la folie
furieuse ça fait mal. J’espère qu’aujourd’hui j’ai pas blessé personne. J’avance
dans ma lecture d’un roman, je crois que l’auteur voulait faire scandale avec
sa narration des milieux huppés, des crises existentielles bourgeoises, c’est
raté pour le scandale on y crois à son histoire mais on s’en fout, si le
scandale c’est d’être superficiel ça tiens pas du moins jusqu’ici j’ai pas
terminé le livre. J’essais de réfléchir à ça, je termine toujours mes lectures
y’a peut-être une surprise à la fin. Le livre s’intitule que notre joie demeure
au début j’ai pas pu m’empêcher de pensés à Hubert Aquin, au Aquin de L’Antiphonaire.
Mais je sais pas je connais ces milieux là que par la littérature on peut aussi
pensés à Madame Bovary de Flaubert, l’auteur a fait ses devoirs… C’est pas ce
livre là qui va transformer la littérature, je vous parlerai pas de Marx
esquissé parfois entre les lignes. Je crois que l’écrivain a étudié a l’Université
du Québec à Montréal ça laisse des traces, c’est bien écris pour la forme mais
pour le fond on voudrais que ça fasse mal. Dans le goulag les concours d’architectures
on connais pas ça l’écrivain a fait un excellent travail de recherche et s’est
bien entouré de personnes ressources. Moi j’ai toujours crû qu’on écrivait bien
que seul. Mais j’ai pas assez lu cette œuvre c’est moins un travail sur le
langage que la description d’un milieu favorisé. Le scandale c’est pas la
fiction romanesque car on dis toujours que la réalité dépasse la fiction. Je
vous aurai écris ça de mon regard de pauvre illettré. Voilà! C’est la chute, la finale, l’épilogue.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À
bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bye !!! Arrivederci
!!! Bonne journée.
11/01/2024
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