mercredi 18 janvier 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Je suis timide hésitant, les mots approchent accrochent. Je sais c’est un travail de longue haleine, je dois prendre mon temps, l’amour de l’autre me passe sur le corps avec l’agaçant désir… Cette maitresse inassouvie n’en reste pas a son premier ratage vous attendez la liberté la délivrance avec les geôliers de la taverne à mon corps défendant on me condamne au jeu de patience au fond d’un bock de draught, la blonde est brune, emportez moi, emportez moi là où le vent est à sa place là où le temps défie la race…

Encore ! Encore ! Mais moins tailladé parce que tremblant dans la pause du poignard qui m’achève avec ce désir de la douleur ce mal et la peur. Vous semblé peinez je suis inachevé a essayer de vous faire comprendre les restes de psychoses la calotte cervicale amochée. C’est trop court je me pose pour vous, le senti en mal de finir… Je suis le frère de tout ceux qui n’en ont pas sans répondre au pourquoi…

 

 Vous me direz tout ça est affaire de trope, la grande m’inspire j’en soupire toujours tantôt tentant. Je « compose » de mon insomnie comme dans un rituel abâtardis qui me mange me défonce la nuit. C’est difficile de vous inscrire de vous nommer aimant tremblant courant vous voulez plus pour moi que moi cette inscription de souffre, bœuf bye trouvaille ça manque de sérieux. Je m’invente une Californie sèche sur le beat… À court de qualificatif l’orienteur dirais que je manque de vocabulaire le fait est qu’il se débarasse…

 

Je m’impose des règles des limites de mauvais poète de la nuit, harlequin ce que j’écris est digne de la comedia d’el arte vous pouvez rire pendant que je fait le bouffon. Je me retrouverai pas dans les romans de la collection… Dehors c’est froid c’est crû comme je voudrais que cet écris soit. Ouais! Ça ressemble à ça cette nuit l’âme en mot, l’âne en sot. Je vois mal la poésie universitaire à une autre époque j’aurais été censitaire. Vous êtes là j’aime bien savoir ça quelques mots encore…

 

Comme toujours c’est la chute et je vous remercie d’avoir lu jusque-là. Vous pouvez continuer je termine tout à coup j’ai un parfum et une saveur de Ricard, de la réglisse. Voilà! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!! À bientôt !!! Ciao !!!

19/01/2023

 


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