jeudi 5 janvier 2023


 

Bonjour! Bonsoir ! C’est la nuit j’entend la télévision du voisin. Les snowbirds ont trouvé un RV mais ils ne l’utiliseront pas cette année. J’essais de trouver un thème pour un projet d’écriture. Je veux partir l’automne prochain ça fait au moins deux choses à pensées. Aujourd’hui j’ai pas à sortir pour autre chose que de savoir si mes jambes vont mieux. J’ai parlé au médecin, il m’a donné rendez vous, il veux savoir si j’ai des problèmes neurologique. C’est étonnant comment je démarre jamais en poésie. Le défi est toujours le même c’est que mon journal quotidien, je suis sans pudeur je vous laisse connaitre ma vie, je peux pas vraiment y aller avec mon imagination j’en manque. Je pense à cette ville que j’ai habité longtemps Terrebonne et à l’île des Moulins avec tout ce beau monde qui grenouille autour…  À Montréal les patinoires sont pas encore prête, hier l’équipe de hockey junior canadienne a remporté le championnat mondial c’était à Halifax et à Moncton.

 

Bon! Je tente la poésie comme on approche un cratère en éruption, les mots je les veux brûlant comme la lave… Qu’ils m’étouffent ces mots qu’ils  m’étouffent puisque derrière eux y’a toujours une intention, ils ne sont pas plus pur que l’auteur en larme au bar, on lui sert un verre avec dégoût les larmes ont toujours fait peur tout ça c’est une anachronique… Tout ça c’est littéralement une scorie, elles retombent du volcan ignorant cachés dans un atoll des mers du sud. J’écris pour vous plaire j’aimerais bien réussir. Ces phrases coulent et laissent un sillon insignifiant. J’arrive pas a donner du sens, je cherche… L’air et la cendre me serrent les poumons j’ai plus de souffle y’a quand même une odeur de souffre… Tout ça ne prétend pas être un magma.

 

À genoux! À genoux ! Pauvre ignorant, ici je me parle en espérant une rédemption par la poésie beaucoup de poète ont essayé ça, la poésie j’en parle faute de pouvoir en écrire ça sonne faux pourtant je cherche la vérité, j’entend le brouhaha du bar, l’alcool leurs fait croire à la grandeur de ce qu’ils ne sont pas, ivre d’illusions pendant ce temps là dehors la sirène et les gyrophares de la police, anxieux on s’arrête. C’est la chute je termine à ma façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là. À la prochaine j’espère !!! Au revoir !!!

06/01/2023

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