Bonsoir !
Bonjour ! À soir je suis triste, ça m’arrive parfois mais je reste pas comme ça
… Je pense à tous ces artistes que j’ai croisés et qui ont tous un lien avec la
maladie mentale … J’aimerais bien la réussir mon œuvre c’est pour ça que je
continus… Ce soir j’ai un doux parfum j’ai
pris une douche et je me suis parfumé avec le beau flacon que j’ai reçu aujourd’hui…
J’ai fait une bonne affaire cent quatre vingt millilitres pour le prix de
quatre vingt dix … Je me souviens quand j’étais plus jeune je me rasais pas et
je me parfumais pas… C’est encore mon journal du confinement, quand j’aurai
finis quand je ne serai plus qu’un souvenir ce seras pas long. Cette année la
santé mentale de chacun est challengée pour cause de pandémie, c’est pas la
première fois qu’une difficulté passe dans ma vie ne serait ce que la schizophrénie
et toutes les autres maladies associés. Je suis encore vivant … Faut que je le
reste pour voir comment ça va se passé après la pandémie une chose est certaine
ça se régleras pas partout au même moment … Espérer voilà ce qu’il faut faire
et pas juste en temps de Covid-19 … Ce soir il neige, des tracteurs on ramassé
la neige dans le parc, y’a peut-être de la plomberie sous la terre, je sais pas
pourquoi je me sent coupable de vous écrire ça. Je regarde les photos de
famille sur Facebook, je réalise que j’ai déjà été un poupon. Trop petit pour savoir ce qui adviendrait de
moi, la vie commençait vierge comme une feuille sur word, j’allais pas tarder
les malaises je faisait de l’eczéma je me grattais c’était difficile. Je sais
pas si y’a un rapport entre les maladies de peau et la santé mentale. Je me
souviens que j’avais été hospitalisé à Dolbeau … Ouais ! C’est là que j’ai
commencé à me sentir seul quand mes parents partais et me laissait à la pouponnière
de l’hôpital, je pleurais dans mon lit à barreau, y’avait un enfant pas
beaucoup plus vieux que moi qui se dévorais les bras. Les faits c’est que la
vie est pas facile pour personne quand ça commence à aller mieux on est déjà
vieux. Tout ça fait que ce soir je vous écris pas trop malheureux, je suis bien
content d’avoir un matelas et de ne pas coucher par terre comme à l’époque du
co-loc et du futon … C’est tellement loin tout ça, je suis pas nostalgique. C’est
le couvre-feu y’a seulement quelques voitures qui passent, c’est toujours
difficile de terminer, je reviens à mon enfance quand je jouais dehors avec mes
habits de laine je détestais quand ils se mouillaient. Je rentrais à la maison,
la peau pleine de boutons … Voilà ! C’est la conclusion l’épilogue toujours de
la même façon. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la
prochaine je l’espère !!! Ciao !!!
Bernard
Je me souviens de ton eczéma...Nous faisons du ménage dans les diapositives de notre enfance, je fais de belles découvertes, à suivre...Janvier 2021 tire sur sa fin
RépondreSupprimeravec l'espoir d'un peu plus de liberté à venir😍
Allô Bernard les marques de l'enfance est-ce guerissable je suis très touchée j'espère pour toi que tu n'as pas d'allergie au parfum soit sur Qu'il soit bio pour ta santé pour ton coeur toi comme enfant tu avais le bonheur au fond de toi étonnant blessé n'est pas celui qui est pur au fond de toi touche au bonheur il est au-dessus de toi et de tous et toutes
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