samedi 30 janvier 2021

Sac en papier

 

Bonjour ! Bonsoir ! Ce midi votre humble serviteur est allé au marché, ça fait beaucoup de lavage de main … Lentement je prend un rythme plus rapide pour la marche. Je me régale des images d’aéroports et d’avions au téléjournal, y’auras pas de vol avant mai et encore … Vous le savez je préférerais écrire de la poésie plutôt que ces pauvres textes. J’écoute mon cœur j’attends qu’il me place sur une piste sentimentale sinon amoureuse. Les amours dans Montréal froid l’hiver j’en ai pas, j’aimerais avoir une écriture brute presque enfantine c’est difficile. J’essais de composer sur une tonalité de bébé … La vie a pas permis que je reste enfantin quand même je deviendrai pas grave. J’écris plus la nuit j’essaye de dormir et j’y arrive pas, je passe du lit au sofa en écoutant la radio. Quelque chose de fort voilà ce que je veux écrire mais ma vie est pas inspirante. Je pourrais très bien essayer de vous pondre une de ces mauvaises poésies dont j’ai le secret mais ça aussi s’annonce pas … Ce matin au coin de la rue en reprenant mon souffle une dame m’a demandé si ça allais, c’est rare quelqu’un qui s’occupe des autres. Je pourrai plus aller loin avant longtemps, c’est la pandémie, la covid-19 est partout et y’a personne qui me rend visite de toute façon c’est permis que pour une personne … J’aimerais bien vous raconter mes délires sur la rue Saint-André, je sortais du métro et je marchais jusqu’au bar j’y passais la nuit en attendant toujours une connaissance qui ne venais pas … C’est de l’histoire ancienne les endroits où je buvais n’existent plus covid-19 aidant et en prenant de l’âge on veux plus aller se briser sur les écueils de l’alcool … J’aimerais beaucoup tourner autour d’autre chose que l’alcool mais ça a pris la place que prennent les femmes pour d’autre. Je suis tellement bête j’ai beaucoup lu mais j’arrive pas à citer un auteur en particulier y’a ce titre d’un roman de Norman Mailer « Les vrais durs ne dansent pas » à partir de ça j’en suis pas un vrai j’aimais bien danser la salsa avec de jolies demoiselles dans les bars latino. Le ciel se dégage y’a du soleil … Je sais pas pourquoi j’aimais le Barfly de Bukowsky, un écrivain pour les jeunes bourgeois décadents selon moi, je préfère beaucoup Jean Genet … Quand même c’est toujours étonnant de lire si souvent par des auteurs différents un monde tout croche… Je sais pas pourquoi je regarde le bulletin de nouvelles Suisse du samedi et ensuite Littoral le magazine des gens de la mer, c’est très intéressant… Avec la pandémie le discours est à l’argent à l’économie … Ces émission européenne c’est le voyage que je peux  pas faire… C’est l’épilogue, la chute, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Quelques mots encore pour vous remercier. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao !!!

Ber

1 commentaire:

  1. C'est vrai que plusieurs écrivains nous décrivent les dérives de la vie...je lis justement David Goudreau que j'admire mais son roman me déprime et je ne peux dire que c'est bon. Je vais t'envoyer des photos d'enfance qui te feront sourire.Bon dimanche💜

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