samedi 5 mai 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Nuit de samedi à dimanche. Je pense encore à Paris. J’irais bien mais c’est tellement agité. Je pense à la charmante rue Mouffetard je crois pas qu’elle est agitée. J’aimerais bien me lever le matin pour prendre un café dans un bistro tous près. Voir Paris, regarder les édifices façon Haussman et marcher, marcher… Mais oui j’y suis déjà aller mais y’a encore des choses à voir ne serait-ce que Versailles où quelques salles du Louvres. Me perdre dans Paris en prenant la tour Eiffel pour me guider. Aller à Paris c’est le plus simple pour un voyage de quelques jours. Je crois que je vous avais raconté avoir perdu mon canif, je l’ai retrouvé il est tombé d’une poche de mon jeans, je suis heureux… Les voisins sont silencieux c’est bien, j’avais qu’à écrire ça, quelqu’un cogne sa porte. J’ai commandé le nouveau recueil Spirou, je vais le lire pour ensuite le poster au fils de ma nièce un fervent lecteur. La nuit est grouillante ce soir, il fait doux on a pas peur de rester dehors pourtant dormir sur le ciment c’est difficile quelques un ont choisis leur temps pour devenir sans domicile fixe pourtant ont dit que c’est pas un choix, c’est une accumulation de déboire qu’est-ce qui fait dire cette nuit je ne rentre pas j’ai trop d’ennuis avec le loyer je vais coucher chez un « ami ». Je vous écris dans un état hypnotique.  Cette nuit j’avance lentement dans cette écriture, je vous ai pas écrit sur mon malaise intérieur, mon senti douloureux… Je pense à ces deux gars qui dans le café avaient volé ma tablette électronique. Je me répète encore comme si j’écrivais la même histoire depuis cent ans… Je me souviens que le samedi le bar se remplissait à partir de vingt-deux heure. Toujours la même image, les bouteilles, le miroir et ma tronche que je ne voulais, ne pouvais plus voir. Parfois je croisais une connaissance, on discutais pas longtemps… Je pense à cette époque dans les avions où l’alcool coulait à volonté, je l’ai pas connue. J’aurais été très désagréable… Retour en arrière, je suis assis, j’écoute la musique qui rime toujours avec alcool. Je sais plus à quoi je pensais, je suis sur la piste de danse, seul, je ne vois plus rien, la douleur est partie, je danse à go-go… À l’époque on appelait ça faire de l’expression corporelle… J’ai quitté ce monde nocturne parfois j’ai souvenir d’être chez un copain pour regarder le hockey… On veillait jusqu’à fort tard dans la nuit, j’ai du quitter ce mode de vie pour travailler sur mon abstinence, un jour à la fois j’y arrive, j’essais de me détacher du monde matériel, du monde de la consommation cette nuit je suis à jeun. Voilà! Encore une fois je vous ai pondu ces élucubrations. Je termine et essais de conclure positivement. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’en rajoute un peu pour l’égalité À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

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