Bonjour !
Bonsoir ! Je lis un roman qui se passe dans le bois à la pêche pas loin de la
rivière Saint-Maurice et du réservoir Gouin si je comprends bien. Y’a des amérindiens
qui prennent le train et descendent en faisant
arrêter le train pas loin de leurs campement. J’ai pas finis de le lire mais je
crois que mon lecteur technicien à la Rolls Royce aimerais ça c’est un grand
amateur de pêche. Moi j’aime ça ça me dépayse me donne envie de passé quelques
jours dans un campe dans le bois. Ouais! S’asseoir dans une chaloupe et lancé
sa ligne où trôler en espérant que ça morde. Ça s’intitule Zec La croche, s’asseoir
sur la galerie en attendant d’arranger sa truite et de la faire cuire sur un
feu de camp pour souper. Je marcherais pas beaucoup dans le bois de peur de me
perdre pourtant je vous écris ça et c’est le bonheur, la matriarche connais ça
le bois. Malheureusement il est trop tard pour réservé et j’ai pas d’équipement
de pêche pourtant c’est bien d’écouter les oiseaux les grenouilles les crickets
et les crapeaux, je me baignerais aussi dans l’eau froide du lac et je fendrais
des bûches pour le feu de camp du soir faire un peu de boucane pour chasser les
mouches noires et juste regarder les bûches qui s’embrasent, avec mon canif je
pourrais gosser une branche pour faire cuire des saucisses où des mashmallows. J’oublierais
pas de bien fermer les déchets pour pas que les ours et les ratons-laveurs les
mangent la nuit. Juste du silence et les huards. Je crois qu’on pourrais pêcher
de la grise et de la mouchetée je sais pas pour l’achigan et le doré peut-être
de l’arc-en-ciel. Je me vois le matin faire des toasts sur le grille-pain
ancienne mode pour ensuite avant de sortir me badigeonner au Muskol. Parfois
quand il fait trop beau trop chaud ça mord pas, je pourrais peut-être prendre
un guide pour qu’il m’emmène dans un bon spot mais je veux juste apprécier la solitude. Dans
les sous-bois je pourrais apercevoir une où deux perdrix et proche du sapinage
des traces de lièvres. C’est la saison de la pêche on braconneras pas et si ça
mord trop on les rejetteras à l’eau. Juste regarder le feu c’est relaxant, s’amuser
à le monter à le partir pour qu’il brûle bien et après cuire sur la braise c’est
bien aussi. Ce sont toutes des choses que j’ai fait que j’oublierai jamais. Les
plus aventureux feront peut-être du portage pour changer de lac parfois ça mord
pas. C’est ce que je connais de la pêche sportive, du bois. Après des journées
dehors on dors bien, parfois la pluie résonne sur le toit de tôle du campe ça nous
berce ça nous endors. Je dédie ce texte à mon lecteur technicien à la Rolls Royce.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! J’espère que vous avez aimer ça !!! À la
prochaine
Bernard
Une belle histoire de pêche et de nature. Ça va te donner le goût du camping...Ces romans du Québec nous ramènent souvent à l'essentiel et font remonter des souvenirs. Bonne journée 🎣🎣
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