Bonsoir !
Bonjour! Aujourd’hui je n’ai dormis que d’un sommeil mât si ça se peut, rien de
très brillant comme rêve. Les rêves c’est toujours incompréhensible on y croise
des visages qu’on a pas vus depuis des années, on est heureux d’avoir rêvé. Les
gars avaient des bottes de travail ils disaient que c’étais des bénéfices
marginaux trouvé dans un local à la job. J’ai cherché j’ai jamais trouvé après
des années je me dis que c’était un mensonge. De toute façon c’étais pas du
travail honnête on y faisait pas grand-chose fallait juste être là. C’étais dans
le labyrinthe un ancien pavillon maintenant démolis à la Cité du Havre de Terre
des Hommes. On s’y rendais tôt le matin dans une camionnette on traversais la
ville et on revenais tard le soir parfois on croisais quelques sénégalais qui
nous disaient qu’on travaillait pas fort et on mangeais les burgers dégueulasse
de chez DiLallo. Moi parfois je me trouvais un livre et un coin et je lisait,
le patron m’encourageait. C’étais la gang
du parc et de la taverne du Central. Je les aimais pas beaucoup mais je
trouvais pas plus payant pour bosser. C’est après ce travail que j’ai commencer
à décompenser, le patron voulait faire construire un appartement pour que j’habite
avec lui moi je trouvais plus l’idée si bonne je voulais pas quitter la maison du
regretté patriarche. La schizophrénie s’est manifesté là je ne travaillais
plus. Je me souviens d’avoir fait le pique assiette dans un vernissage au Musée
d’Art Contemporain de l’époque on s’était présenté comme des employés de la
direction on avait bien mangé et je crois qu’il y avait du vin. Tout ça me rend
pas nostalgique je suis heureux que ça sois terminé, certain parlaient de se
syndiquer ça a pas fonctionné. Le patron était gay je l’ai réalisé longtemps
après dans une frayeur, une peur homosexuelle. Souvenirs aussi des électriciens
qui se payaient ma gueule, ils m’appelaient le palmier à cause de mes cheveux,
j’ai longtemps été troublé, je le reste encore avec ces souvenirs. Pendant les
réceptions on nous cachait dans la salle des machines de l’édifice on étais pas
montrable, là aussi les gars m’avaient mentis en me disant que le premier
ministre était venus en hélicoptère je l’ai jamais vus. Après tout ça je suis
devenus bouleversé avec aucun endroit où allé. Le patriarche croyait qu’une
voiture allait me rétablir. J’avais pas de femmes dans ma vie, je suis devenus
chômeur chronique. Parfois on sortais du travail pour aller prendre une bière
dans le vieux Montréal. On nous avait donné des livres labellé au musée d’art
contemporain. C’est une partie de ma vie, je ne pouvait fuir. C’est pas la faute
de personne j’étais qu’un petit bum. Voilà! C’est l’épilogue la conclusion, c’est
jamais facile, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!
Abandonnez pas on y arrive quelques mots encore à la prochaine je l’espère !!!
Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao !!!
Bernard
Une histoire de vie qui pourrait ressembler à un rêve éveillé...des moments qui restent en mémoire malgré le temps qui passe. Aujourd'hui j'ai la visite de la belle Raphaelle 🌞Bonne journée
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