mardi 1 octobre 2019

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Il est tôt dans la nuit, je dors très mal et préfère écrire, pour une rare fois hier j’ai jeté de la bouffe, le foi de bœuf étais plus bon… Cette nuit j’attends un dépôt, il est presque vingt-trois heures. Hier on se fiait trop sur l’alerte que donne facebook plutôt que d’aller directement au blog… Mon lecteur de Deux-Montagnes dis que c’est inutile d’essayer de troubleshooter facebook, y’a trop de paramètres différent… Encore une fois je ne rêve pas un avion arrive à Montréal, je l’entends… Je salue le nouveau lecteur un artiste visuel… Je sais pas comment écrire avec bonheur… Je suis réveillé, je dois pas attendre avant d’écrire de peur de m’endormir… Hier à la radio ils parlaient des multiples visages que prenait l’art contemporain son côté insaisissable, les diverses pratiques allant  jusquà beurrer de son sang… La difficulté de définir ce qu’est un artiste… La chanteuse « je suis un saule » comme dans Saulnier « insaisissable, le plus désemparé des arbres » il pleure quand il voie les oies s’envoler vers le sud… Dimanche on m’a mis en boîte, canné pour la télé, cette nuit à partir de minuit on va confirmer mes préjugés, les collègues prestataires n’hésiteront pas à étancher leurs soifs… La difficulté c’est de ne pas répéter ce que j’écris ni même ce qu’un autre a écris… Je me contredis tout de suite j’ai pris une douche me suis parfumé… Et si c’étais un autre que moi qui écrivait tout ça… J’ai pas de signature numérique… Semble qu’a l’institut y’a un nouvel adjoint à la direction santé mentale et dépendance qui n’y connais rien… J’ai sommeil, j’écris des bêtises… Hier soir mon lecteur de Deux-Montagnes m’a téléphoné, il m’a dis combien ça coûte une loge au centre Bell c’est pas disable… J’ai dormis c’est le milieu de la nuit. Mardi le premier octobre, la rue, le quartier latin sont noir de monde on cherche encore un endroit pour cuver notre vin. Je réussissais à oublier je voulais pas rentré j’étirais la nuit, je me rappelle ce grand bol à salade sur le bar, on y jetais des billets de banque… Cette nuit j’ai le senti endormis, j’ai dormis un peu, je suis encore dehors la nuit c’était ma vie, maintenant je ne consomme plus je sais quel monde j’ai quitté heureusement je suis pas mort je peux vous en parler… Je reviens à mon senti la nuit à mes tentatives de prosodie… À la fin dans ma chambre je savais pas, je savais plus, maintenant j’ai plus rien à me reprocher… Des nuits perdues dans l’odeur d’alcool , c’est toujours mon sujet de prédilection… J’ai jamais vue des taches comme nous, je fuyait les tracas et j’en créais d’autre… Voilà! Ça ressemblait à ça ma nuit, toujours dans les souvenirs senti. Quelques mots encore pour pas être en reste. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là, n’arrêtez pas c’est la conclusion!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire