lundi 2 avril 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me voilà de retour, cette nuit j’ai beaucoup dormis. Je pense à toutes ces belles rencontres que j’ai fait, les gens ont je crois bien aimé ma communication. Je sais pas si ça vas avoir des répercussions ici, espérons que ce soit pour le mieux. Hier j’ai lu un éloge journalistique à la machine à écrire. Lundi de Pâques, heureusement je suis revenus avant qu’il y ais grève à la Société Nationale des Chemins de Fer. Quand je regarde ça tout s’est bien passé. J’ai remarqué que maintenant y’a beaucoup de services numérisés et informatisé, on enregistre nos bagages en les scannant soi- même. J’ai la chanson de Renaud, Mistral gagnant, dans la tête… Je l’aime quand même beaucoup la France c’est pas le cas pour tout le monde un jeune homme qui avais des problèmes s’est mis à l’insulter en criant des propos salissant. Je suis quand même content d’être de retour chez moi, c’est mon senti tout ça, je crois que ce lundi est férié pour pas mal de monde. Dans le train de retour j’ai eu une gentille conversation avec mon voisin qui s’en allait en Algérie, c’était sympathique.  Lentement je me réveille, l’écran m’aide un peu, on a modernisé les déclarations à l’aéroport Trudeau, quand on arrive tout est électronique, c’est simple et efficace. En rentrant dans mon appartement hier, j’ai réalisé qu’il sentait bon… Ce matin je suis debout à Montréal… Je pense à la dope aux policiers. J’ai plus de problème avec ça je suis « sobre » depuis un bout de temps. Dans l’avion les gens buvaient un petit alcool de poires français et quand les gens ont bu ils se mettent à causer comme des malades qui se connaissent depuis des années… Hier je réfléchissais sur l’inconscient à comment je prête des intentions aux gens quand ce n’est que ça des gestes inconscients… N’empêche, la première classe dans les avions ça semble confortable mais je crois pas que je serais capable de dormir. Tout passe tellement vite, je suis de retour et c’est comme si j’étais jamais partis. Je reviens dans mon quotidien d’écriture et d’implication. Je vais écrire à l’agent de voyage elle a fait une super job… Comme ça je pense à mon quartier, comment on le découvre après s’en être éloigné, pas longtemps soit! Mais juste assez pour l’apprécier. Je vais dire comme mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord, je me suis contenté! Y’a des moments que j’aimais moins dans le voyage mais il faut être patient. J’aime toujours l’avion… Le train à grande vitesse c’est bien aussi. Faut se concentrer sur ce qu’on a aimé, les gens, et laisser faire le reste. À l’aéroport Charles-de-Gaulle deux dames québécoises m’ont demandé où il fallait qu’elle embarquent, j’ai répondu en bégayant, je crois qu’elles ont compris… Mon sac-à-dos est très utile, je m’en sers beaucoup. Voilà! Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
 

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