Bonsoir !
Bonjour ! Je vous écris de la nuit ai dormis un peu. C’est toujours mon journal
du confinement. Certaine mesures sont tombés plus de couvre-feu les terrasses
étaient ouvertes partout je sais pas si y’a eu beaucoup de monde… À la télé y’avait
un type qui buvait sa bière à neuf heure du matin, il disait que c’était un
petit déjeuner traditionnel un alcoolique
? Y’en a que la pandémie a pas rendu plus intelligent. J’espère qu’il y a pas
eu de gel chez ma lectrice privilégiée de Gatineau, que ses jardins sont restés
beau. Ce soir y’a un match au domicile de l’équipe locale qui fait toujours
face à l’élimination. Ils vont jouer devant deux mille cinq cent spectateurs
dans les gradins. Lundi visionnement au Théâtre du Nouveau Monde et le lendemain
on donne une formation sur la stigmatisation. Je commence a être a bout c’est toujours
le même senti. Je suis pas trop angoissé, je sais pas si les terrasses sont
restées ouvertes toutes la nuit ? Souvenir d’un passage à Upton dans les Cantons
de l’est chez un ami comédien j’avais pris deux grosses bière chaudes comme
petit déjeuner c’était dégueulasse. Je suis toujours fasciné par la place que
prend l’alcool dans nos société. Dans l’OBS on nous dis que c’est certainement
la substance la plus ravageuse. Je suis content d’avoir arrêté tout ça y’a des
gens qui m’ont jamais vu ivre et c’est tant mieux … Y’a eu ce presque guet
apens à Upton je m’en souviens encore aujourd’hui j’ai eu très peur. Je souhaite
que bientôt la vie reprendras ses droits qu’on vas y aller pour le cours des
choses. Je sais pas pourquoi je crois qu’avant que je vienne au monde le
patriarche avait un restaurant à Québec drôle d’idée !!! Parfois y’a des choses
qu’on ose pas écrire, d’autre souvenirs d’attente dans la voiture pendant que
les parents visitaient une tante qui testait sa foi au couvent elle y est pas
restée tant mieux. Je mélange les choses c’était peut-être ce qu’on appelait à
l’époque l’école normale. Souvent pendant ces balades en voitures on arrêtait à
la laiterie pour du fromage en grains, c’était bon, j’ai gardé l’habitude d’en
acheter. C’est loin tout ça j’aimais bien regarder le paysage défilé pendant
que la matriarche nous indiquait où on pouvais voir des animaux, veaux, vaches,
bœufs, chevaux, cochons c’était amusant … La matriarche a toujours aimé les
fermes, toujours eu un grand respect pour les agriculteurs. Moi je suis
vraiment urbain je fait pas la différence entre une génisse et une vache …. La
ferme j’ai connus ça chez un oncle de la matriarche il nous gardait, j’avait
tellement peur que les parents nous abandonnent nous donnent en adoption mais
partout y’a des bonnes choses c’est là que j’ai découvert Onésime dans le journal
Terre de chez nous. Je termine là-dessus pour comme toujours vous remercier d’avoir
lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!
Bernard
J'aime ce texte près de la terre...Notre tante était bien au Couvent de Chicoutimi où nous sommes allés la visiter une fois ou deux. Je garde de bons souvenirs de nos vacances à la Ferme de Ste-Jeanne-d'arc. Et mon jardin était protégé du froid, tout est beau. Bon samedi 🚴♀️
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