Bonsoir !
Bonjour ! Ce soir je suis triste, j’anticipe les problèmes financier de la
retraite. Je me sent battu mais battu, un problème attend pas l’autre mais c’est
un long week-end faut laisser passé. Un mot me viens, désemparé, encore les
envahisseurs qui m’ont rendu visite pourtant je suis pas sortis depuis quelques
jours. J’ai jamais trouvé de solution à ce problème qui surgit quand je ne l’attend
plus. Ai exprimé mes angoisses à des amis ils ont écouté, je vais régler ça
mardi. Comme solution c’est jamais définitif mais je finis toujours par me
calmer. N’empêche quand j’affronte ça et que je l’exprime on me dis que je suis
brave, c’est la maladie mentale … J’ai de la difficulté à écrire un moment je
me trouve chanceux et l’autre malheureux. Je pense à cette artiste qui disait
qu’il faut continuer malgré tout c’est ce que je fait. Au bout ça va peut être
donner une « œuvre » faut que j’ais un peu d’humilité. Je crois que
je vais arrêter tout ça déplier la chaise berçante m’asseoir et prendre un café
en laissant le temps passé. Pourtant j’espère toujours me rétablir quand je termine,
je me tiens loin des paradis artificiel. Je suis si lent si lourd, l’ami me
disait que des erreurs administratives étaient possible. Une semaine encore et
c’est la journée des allocations. J’ai encore deux formations sur la stigmatisation
a donner. Je crois que l’amie va être bonne dans le rôle que je lui ai écris.
Ma parenté de Gatineau a de beaux petits enfants. La super-maman et la designer
sont très jolies aussi. J’essaye de me calmer moi qui croyais qu’une fois à la
retraite y’aurais plus de pression y’en a encore … De toute façon au travail et
à la maison j’étais aussi fou. Je pense aussi aux neveux et à la nièce de
Terrebonne ils ont de beaux enfants. Je
suis dans un sale état c’est la vie qui bat. Qui aurais cru ça vingt sept ans
dans le même logement un jour à la fois. Si vous savez pas trop quoi faire
faites une petite prière pour moi ça peux pas faire de tort. Des pages de mots
presque du délire, la fête des patriotes. Je suis perdus condamné à vivre au bord
de la psychose j’aurai mal vécu ce qui me manque le plus ce sont les voyages les
heures dans l’avion, l’attente à l’aéroport. Bon je vais me trouver un discours
pour finir je pense aux amis qui ont mis fin à leurs jours ils en avaient surement
assez. Tout laissez là et partir pour ne plus revenir, rendre des gens malheureux.
Je pense à eux. Damné de damné! C’est pas là que je veux aller, je les prie où
qu’ils soient, je vous dirai pas pourquoi. Je vous donne le droit de pas aimer
ce que j’écris, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine
je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao !!!
Bernard
Sois confiant que tu ne seras pas perdant avec tes revenus de pension et autres. Un texte plus pessimiste qui prouve que chaque jour qui passe est différent. Demain sera mieux. Déjà la fin du mois de mai qu'on a pas vu passer...☀️
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