Bonsoir !
Bonjour ! Aujourd’hui j’ai marché un peu ce matin. Ça va mieux, je lis L’OBS
c’est intéressant, la télé est sur le match de l’équipe locale, toujours
l’hymne national y’a que là qu’on l’entend … J’aimerais bien qu’on en sorte
avec la victoire… Le hockey c’est pas le meilleur endroit pour exprimer ses
émotions, journée ensoleillée, c’est toujours la même histoire du
confinement. Je crois que le couvre feu a été reculé. Je pense à ces septiques
qui croient pas à la pandémie, une gang de paranoïaque qui fument trop de pot,
ces gens là vont retarder le rétablissement de la population. Je comprends pas
pourquoi ils n’y croient pas, si y’a des gens près d’eux qui tombent malade
c’est triste mais ils vont changer d’idée. Je croyais que la maladie mentale
faisaient un écran pour mes autres malaises qu’on veut pas me soigner. Je crois
que certaines personnes sont endoctrinés par les stations de radio où on répand
des faussetés, y’a des animateurs qui disent avoir la vérité, de mauvais
éditoriaux. En fait je comprends pas les millions d’indiens qui meurent c’est faux ? Parfois je trouve que ça vole
bas, c’est partout dans le monde pas seulement dans notre coin de pays,
probablement que la maladie les empêches de réfléchir correctement. Moi j’essais
de respecter les consignes, je me lave les mains, je porte un cache-visage, me tiens
à deux mètres des autres, limite mes sorties et je suis vacciné … En Italie les
croisières ont recommencés, en France c’est le déconfinement, avant de partir
je vais attendre. Je vois que je vous fais une sorte de rapport des actualités.
Je vais encore tenter le sentis, aujourd’hui ça va mieux j’ai moins mal me sent
moins vide. La nuit est tombée, j’ai souvenir de certains week-end avec une
copine, à cette époque je travaillais pas ça me donnait une chance la fin de
semaine j’avais pas à chercher de job je me perdais dans la lecture. Pourtant c’était
toujours entre l’appartement, le bar, le bistro et le café j’avais pas d’affaire
là … Mon senti c’est souvent des souvenirs sans nostalgie, ivre dans le bas de
la ville. L’équipe locale viens de se faire marquer un but, je plonge au plus
profond de mon âme je cherchais l’amour y’en avait pas, on voulait pas se coller
sur moi, le malaise du solitaire … Allô! Allô! Est tu là ? Je comptais sur toi
pour lire ça ma douleur existentielle ma couleur expérientielle. Je partirais,
je partirais je sais pas où je sais pas quand j’attends… C’est difficile d’avoir
une écriture soul, une écriture de la rue. Dans la confusion j’essais de nommer
et de développer ce que j’écris. Pour ce soir tout ça c’est presque terminé. Je
te vois flashé avec ton cash pourtant je m’étais toujours dis que c’est pas
important y’a que quand on en manque qu’on parle comme ça. Comme toujours je
termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine j’espère !!!
Bernard
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