jeudi 13 mai 2021

Commun


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je pense que ce que j’écris c’est du domaine du commun pas trop raffinée. Me viens en  tête les noms de grands auteurs dur et délicat, je les nommerai pas on a tous nos favoris dans la littérature, il y eu de grands hommes aux grands mots. Je me suis attaqué à la lecture de grandes œuvres mais je suis revenus à mi-chemin pour lire d’autres écrivains suggéré. J’essais de me souvenir je devrais relire encore les œuvres maitresses mais le temps manque pourtant les classiques sont toujours à relire. Je me suis fait faire d’autre lunette qui ressemble au lunette du grand poète rapaillé. Commun parce que dans la communauté avec la pleine citoyenneté contre l’ordinaire de la psychose du pauvre. Mes fréquentations des psychiatres sont allé jusqu’au voyage a partager les repas à la même table. Trop impressionné en Italie dans un bistro j’avais demandé au directeur de l’hôpital psychiatrique de Québec comment je devais l’appeler il m’avait répondu monseigneur. Je crois que je vous l’ai déjà écris, c’étais désagréable comme réponse je m’en suis pas fait un ami. Commun aussi parce-que je voudrais qu’écrire sois simple et expressif sinon impressionniste, de belles images pour les cœurs tendres. J’essaye de faire un rapport entre la psychiatrie citoyenne, déjà passée de mode, et la communauté élargie ces jours ci je suis plus dans le centre d’apprentissage santé et rétablissement à la co-construction de formations qui parlent, quand même c’est toujours mon journal du confinement qui m’aide à vivre … Demain c’est la dernière formation d’une série de trois sur le rétablissement mon collègue va partager son vécu à partir de son regard de professionnel. Cette semaine y’a les jardins et les potagers moi j’ai pas le pouce vert et mon écriture est pas très organique étrangement ça m’attire pas pourtant ça devrais en ces temps d’écologie de récupération et de recyclage. Je pense aux khmers rouge qui rééduquaient les citadins en les envoyant travailler la terre de la campagne ici on a connus les communes qui visaient l’autarcie c’était un mode de vie assez dur. Souvenir d’un été à la campagne tout ce que je faisait c’est tondre le gazon c’était assez touriste mon affaire. Je sais pas pourquoi l’agriculture ça m’intéressais pas chez le patriarche au printemps je passais le rotoculteur pour le potager c’était tout, les urbains sont pas très bon pour faire pousser des choux pourtant c’est économique. Semble que les mains dans la terre çâ apaise, j’ai jardiné un peu dans le jardin sans pesticide de ma copine du temps c’était difficile. Ce soir ça sent le purin, un bon engrais de chez nous, combien d’année faut la retourner la terre pour quelle devienne bonne à cultiver ? … Je pense aux tomates cœur-de-bœuf comment ça fait de bonnes sandwichs. Voilà c’est l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Les étés sont court faut regarder pousser. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao !!!

Bernard

2 commentaires:

  1. Allô Bernard je pense à toi et aux semences de l'écriture...

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  2. Une belle photo printanière et un texte qui me parle. Le jardin est en effet un moyen de revenir à l'essentiel, ça fait du bien à l'âme. Plaisante conversation hier et bonne dernière formation.🌺🌸

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