Bonsoir !
Bonjour ! Je pense que ce que j’écris c’est du domaine du commun pas trop
raffinée. Me viens en tête les noms de
grands auteurs dur et délicat, je les nommerai pas on a tous nos favoris dans
la littérature, il y eu de grands hommes aux grands mots. Je me suis attaqué à
la lecture de grandes œuvres mais je suis revenus à mi-chemin pour lire d’autres
écrivains suggéré. J’essais de me souvenir je devrais relire encore les œuvres maitresses
mais le temps manque pourtant les classiques sont toujours à relire. Je me suis
fait faire d’autre lunette qui ressemble au lunette du grand poète rapaillé. Commun
parce que dans la communauté avec la pleine citoyenneté contre l’ordinaire de
la psychose du pauvre. Mes fréquentations des psychiatres sont allé jusqu’au
voyage a partager les repas à la même table. Trop impressionné en Italie dans
un bistro j’avais demandé au directeur de l’hôpital psychiatrique de Québec
comment je devais l’appeler il m’avait répondu monseigneur. Je crois que je vous
l’ai déjà écris, c’étais désagréable comme réponse je m’en suis pas fait
un ami. Commun aussi parce-que je voudrais qu’écrire sois simple et expressif sinon
impressionniste, de belles images pour les cœurs tendres. J’essaye de faire un
rapport entre la psychiatrie citoyenne, déjà passée de mode, et la communauté
élargie ces jours ci je suis plus dans le centre d’apprentissage santé et rétablissement
à la co-construction de formations qui parlent, quand même c’est toujours mon
journal du confinement qui m’aide à vivre … Demain c’est la dernière formation
d’une série de trois sur le rétablissement mon collègue va partager son vécu à
partir de son regard de professionnel. Cette semaine y’a les jardins et les
potagers moi j’ai pas le pouce vert et mon écriture est pas très organique
étrangement ça m’attire pas pourtant ça devrais en ces temps d’écologie de
récupération et de recyclage. Je pense aux khmers rouge qui rééduquaient les
citadins en les envoyant travailler la terre de la campagne ici on a connus les
communes qui visaient l’autarcie c’était un mode de vie assez dur. Souvenir d’un
été à la campagne tout ce que je faisait c’est tondre le gazon c’était assez
touriste mon affaire. Je sais pas pourquoi l’agriculture ça m’intéressais pas
chez le patriarche au printemps je passais le rotoculteur pour le potager c’était
tout, les urbains sont pas très bon pour faire pousser des choux pourtant c’est
économique. Semble que les mains dans la terre çâ apaise, j’ai jardiné un peu
dans le jardin sans pesticide de ma copine du temps c’était difficile. Ce soir
ça sent le purin, un bon engrais de chez nous, combien d’année faut la
retourner la terre pour quelle devienne bonne à cultiver ? … Je pense aux
tomates cœur-de-bœuf comment ça fait de bonnes sandwichs. Voilà c’est l’épilogue
comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Les étés sont court faut
regarder pousser. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao !!!
Bernard
Allô Bernard je pense à toi et aux semences de l'écriture...
RépondreSupprimerUne belle photo printanière et un texte qui me parle. Le jardin est en effet un moyen de revenir à l'essentiel, ça fait du bien à l'âme. Plaisante conversation hier et bonne dernière formation.🌺🌸
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