Bonjour !
Bonsoir ! Samedi tranquille, je pense à ma pension de vieillesse. Ils disent
que dans certain cas on a pas a faire la demande on reçois un avis c’est
automatique. J’attend il reste encore quelques mois. J’ai un drôle de sentiment
comme si j’étais en voyage un jet lag, c’est étrange … Aujourd’hui j’ai
beaucoup regardé la télévision, le premier épisode de la deuxième série
Yellowstone et un documentaire sur Dieu avec Morgan Freeman. Je suis toujours
anxieux, j’espère que ces affaires de pension ça va se régler sans problème. J’y
vais avec mon senti, je dis à l’écris. La semaine passé je me suis inscrit au
recensement, je trouve pas quoi vous écrire. Je pense à des gars du bas du
fleuve avec qui je travaillais dans une sorte de plastique de polyuréthane, y’avait
un de ces fiume de quoi se saouler, les fusils à peinture et le thinner je suis
devenu fou à travailler là sans protection. C’était des conditions pour devenir
schizophrène j’ai arrêté, je croyais qu’on me volait mon lunch mais j’en avais
pas, c’est un passage dans une shop ensuite j’ai de la misère avec la
chronologie ce fut d’autre shops et la misère. Y’avait un gars qui jetait du compound
dans les égouts de quoi polluer les cours d’eau, il avait été mis à la porte, un
autre qui travaillait sur une contrôle numérique énorme, une des premières, la
dernière fois que j’ai entendus parler du gars qui travaillait là-dessus il s’étais
suicidé. J’ai fait deux où trois
passages dans cet atelier ensuite deux où trois dans un autre soudure et assemblage.
Travaillé aussi le bois des skis à un endroit et des portes à un autre. J’ai
ramassé des restants de fenêtres pour les mettre au chemin pendant qu’on
installais des neuves et des portes d’acier, j’étais aussi helper sur la
livraison à un autre moment je travaillais dans la récupération de carton et de
papier à l’époque c’étais pas fréquent. J’ai terminé tout ça dans l’entretiens
ménager que j’ai abandonné. Ça me fait mal de vous écrire ce calvaire des jobs,
c’étais y’a longtemps et j’étais jamais à ma place. Je racontais comment à mon âge
côté travail j’avais plus de compte à rendre à personne. J’étais malheureux
mais malheureux… Tout ça fait pas de la grande poésie pas un bon curriculum vitae
pour la littérature. Je vous écris ça et j’ai envie de mourir Je vais vous illustrer
ça avec une église de New-York. J’étais tellement fou paranoïaque ça m’empêchais
de bouger comme si j’étais toujours au prise avec l’angoisse de la mort … Voilà
on ne peut plus voyager, j’hésite mais je veux pas déménager j’ai une certaine
stabilité. Je viens de rebrancher le routeur je commence à savoir comment ça
marche. C’est la conclusion j’espère que ça vous plait, c’est difficile d’arriver
au point final. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la
prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!
Bernard
J'ai justement rêvé de Paris. J'y ferais bien un long séjour,cil y a tant à voir... Incroyable quand même qu'on soit rendu des prestataires de la pension de vieillesse dont je n'aime pas le nom.😏
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