lundi 26 février 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Le souffle m’est revenu ça marche mieux. J’y arriverai jamais à faire ma marque. J’écris oui mais il semble que ce sois pas suffisant. Je suis vieux j’ai pas le temps d’apprendre toute sortes de règles d’édition. Il fait doux, les voitures passent les fenêtres ouvertes et s’arrêtent au feu rouge, on entend la radio, des shows pour le retour à la maison. Le soleil est magnifique, je travaille les mots. Dans mon quartier je risque de mourir empoisonné par la circulation automobile. Vous le savez je l’ai déjà écrit. Vain! Ce sont de vains efforts. J’arrive à rien. Parfois je crois qu’on me vole des textes, c’est possible mais c’est pas grave… Ces jours ci c’est l’abandon qui m’habite, je pense à ce coach sur facebook, on peut pas le critiquer il a réponse à tout. Je veux pas imiter personne, je suis pas tant assoiffé de réussite. Je me permets d’écrire comme ça pour vous faire lire. Je peux pas vraiment écrire sur le succès je le connais pas. J’ai choisi l’écriture y’a longtemps, j’étais encore dans la dèche et ça semblait être ce qu’il y avait à faire… Aujourd’hui j’ai pas envie de m’auto-dénigrer, je sais pas où aller. Soixante et un ans, sénior sans métier, j’ai le temps de mourir avant d’y arriver. Cette semaine je commence une rédaction en groupe, je sais pas ce que ça va donner… Ça se transformeras pas en or, j’aimerais juste que ça se transforme en art… J’ai quelques idées que j’écris pas ici, j’attends je serai peut-être inspiré. Le grand écritoire on l’efface quand on veut, je veux juste écrire d’une manière correcte sans plus, pourtant c’est du délire je répète et répète c’est déjà sénile… Y’a un parfum de panure ce soir, c’est pas de la haute cuisine… Voilà c’est la fin du mois, les voleurs de vélo ont faim, y’a longtemps qu’ils n’ont plus un sou, à l’époque un vélo usagé sur la rue c’était vingt-cinq piastres. Je vous ai souvent écris que j’aimais pas la routine mais ce blog ça en est une. Un autre parfum, celui- là de métal, je sais pas si vous êtes déjà entré dans un atelier d’usinage y’a une odeur toute particulière, j’aime pas ça… C’est pas fin, comme dans finesse, ce que j’écris… Je tente d’écrire crûment ce qui me passe par la tête… Me tenir loin des clichés. Le soleil… En voilà un cliché je le laisse passé j’y arrive avec difficulté, j’aurais aimé être un vrai artiste, me semble que parfois c’est de la frime. Ce qui m’étonne c’est que je regarde des films comme cette série la Cure, qui me dérange, j’ai quand même visionné tous les épisodes c’étais désespérant, je voulais mourir.  Voilà! C’est ici que je vous ai amené ce soir, toujours dans le même univers. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!!! Je vais essayer d’être de retour bientôt. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Arrivederci!!!
Bernard

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