Bonjour ! La journée de dimanche se termine, le service de l’eau
est revenu. J’ai hâte de préparer mon voyage. Je fait cuire des légumes ils
seront accompagnés de bacon et de foi. Je suis pas mal mêlé dans tout mes
rendez-vous, c’est jeudi matin. Je sais pas pourquoi je suis triste la fin de
semaine se termine… Je suis pas certain d’y arriver aujourd’hui. Je veux aller
chercher de l’inspiration. Je participe a des formations début novembre d’ici
là j’aurais le temps de passer quatre cinq jours à New-York. Je suis déprimé j’essais
de mettre de l’ordre dans mes implications santé mentale. Le soleil est couché,
semble que l’automne dans la grosse pomme c’est bien, mon état d’esprit est
jamais le même, je devrais pas me casser la tête pour le boulot je suis
retraité mais j’aime bien être engagé dans la lutte contre la stigmatisation en
santé mentale. Parfois je pleurerais pour rien comme ça des émotions qui
remontent… C’est étrange on commence à connaitre la vie quand elle se termine.
C’est pourquoi je veux voyager avant d’être plus capable. Lentement ça va mieux,
j’ai discuté du tarif des hôtels avec un ami pas longtemps. Je vais essayer de
regarder la suite du film Batman. Aujourd’hui j’ai regardé le début d’un film j’ai
été incapable de poursuivre. J’ai un ami qui dis quand on est seul on veux être
avec quelqu’un quand on est avec quelqu’un on veux être seul, c’est pas faux…
De toute façon j’ai jamais été très fort dans les relations affectives. Y’a des
jours comme ça on a l’impression que la radio nous a volé tout les mots, qu’il
ne reste plus rien a éprouvé et on ne veux pas mentir. Ma parole compte pas les
filles disaient ce n’est que des mots pourtant… Quand elles m’ont dis ça j’ai
brisé, j’y met trop de sentiments dans mes mots. Je veux pas faire illusion
juste dire l’état la tension. Y’a le fait d’aller voir ailleurs si on y est, l’alcoolisme
on cherche d’endroit en endroit de bar en bar je ne sais quoi faut arrêter on
ne trouve jamais. Je m’auto-stigmatiserai pas je ne suis que moi qui cherchait
de la mauvaise façon dans les mauvais endroits. J’arrive à la fin, la
souffrance excuse rien. Je vous aurai raconté encore une fois, lentement ça se
termine là, je vous laisse lire comme ça. Bonne Journée!
07/10/2
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