Bonjour ! Je me laisse aller de mots en mots même si ça
vous apparait absurde. Je suis mélangé je me croyais samedi. Cent fois sur le
métier remet ton ouvrage qu’ils disent, y’a un moment où on utilise les poncifs
je dirais. Hier je suis allé dans un debriefing à propos de l’émission de
radio, c’était intéressant d’avoir le point de vue des autres sur la
production. J’aime beaucoup faire ce genre de chose si vous faites une recherche avec Les proches
l’accompagnement en santé mentale vous allez voir de quoi je parle. Je vais
essayer de me connecter à mon sentis. Dehors y’en a toujours qui gueulent, le
Goulag c’est comme ça ils trainent dehors la nuit. J’entend un cri et je
transforme ça en phrase malicieuse, c’est difficile. Je racontais cette
difficulté à dire mon étant dirais le philosophe en allemand je crois que c’est
le Das Sein faudrait que je relise Heidegger et aussi Lévinas. C’est des concepts
compliqués, ils les ont pensés longtemps avant de les écrire. Parfois la
philosophie ça nous plonge dans une espèce de torpeur, de lourdeur difficile a
élaboré. Parfois et même toujours je m’en tiens au un jour à la fois. La
philosophie a toujours besoin d’humilité. Voilà septembre qui débute, les
enfants sont à l’école bien qu’il va manqué d’enseignants, moi j’aimais ça étudier
mais j’ai pas pu poursuivre de parcours académique, j’ai essayé l’éducation des
adultes mais j’ai pas eu l’aide dont j’avais besoin ça me fait pensés que
parfois les enseignants ils y vont à la gueule du client. De toute façon je
retournerai pas étudier, je suis encore capable d’apprendre. Je viens de me
préparer deux tartines au beurre d’arachide. Je salut ici mon neveu Tiger Nain…
Le poète parle de grande rentrée ça rythme la vie active des travailleurs, j’ai
parlé de tout ce que j’avais a raconté à mon âge l’expérience parlant plus que
dans la vingtaine. J’avais vingt ans et je croyais savoir ça m’a pris cinquante
ans pour en apprendre un peu mes parents avaient essayer de me raisonner mais
non c’était plus fort qu’eux j’idéalisais je croyais tout savoir, j’avais pas
vécu encore. Heureusement j’ai pas perdus toutes mes bonnes valeurs. Quand je
pense folie, santé mentale, je pense et je sais pas pourquoi à La Salpêtrière à
Paris pour moi ça sonne comme un vrai asile. Au revoir. Bonne journée.
04/09/2024
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