jeudi 12 septembre 2024

 

Bonjour ! Ce soir beaucoup de légumes, brocoli, chou-fleur, choux-de-Bruxelles, carottes et pour terminer pommes de terre tout ça accompagnait un excellent foi de bœuf frais. Je sais pas trop quoi vous écrire, je pense à la gang des mauvais temps… la gang des mauvais jours, qui m’écoeurait tout le temps, qui m’écoeurait toujours, la mort les accompagnait combien de victimes ils ont fait ? Loin loin je les voulait, près de moi ils restaient toujours. Je trouve rien ça s’arrête là, il fait encore chaud au goulag… Quand même je me cherche une destination, ce seras pas avant le printemps prochain. Je veux retourner voir la statue de Louis-Philippe Pinel, j’assume bien tard mon « travail » d’écrivain… Je viens de lire un commentaire sur la lecture de bandes dessinées, les parents du lecteur trouvaient que c’étais pas une lecture valable, moi je dis la bande dessinée pourquoi pas? Moi ça m’a mené à la lecture des grands classique. J’avais faim j’avais soif de connaissances,je voulait que les livres me parlent et la lecture on en a jamais finis, la littérature m’a toujours fascinée ça prenais ça pour m’acompagner dans mes grands moments de solitude.Un livre ça peux devenir un ami. Un fou de moi : Y’a plusieurs années un ami m’avait « engagé » pour travailler à la production d’une pièce de théätre pour et avec un grand dramaturge on était chez lui il avait servi le café c’est là que j’ai fait un fou de moi j’ai demandé du sucre y’en avait pas le dramaturge m’a expliqué pourquoi, c’était à cause de l’exploitation des ouvriers dans la canne à sucre on préférais le miel c’est pas que je savais pas mais je consommais trop d’alcool pour pensés à ça. Je pense que c’est là que ma carrière dans les arts dramatiques s’est terminée. Ça me rappelle ce beer buddy, il passait me prendre à ma chambre et on revirais des brosses à n’en plus finir, ce qui me faisait de la peine c’était de savoir qu’il avait une femme et des enfants quand j’allais chez lui les enfants pleuraient sachant que j’allais partir avec lui. Je suis pas fier de vous raconter ça, l’alcoolisme c’est aussi ça. J’avais toujours un partenaire pour boire ma solitude était si grande… Avec la sobriété la solitude est disparue, je ne fréquente plus ce monde alcoolisé. Bonne journée.

13/09/2024


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