Bonjour ! Bonsoir ! Rafraichissante victoire des Alouettes hier. Ottawa a été incapable d’inscrire un touché. Montréal a gagné à un placement du blanchissage, on a des joueurs dominants. Hier j’ai préparé avec le collègue la présentation de la formation sur la stigmatisation comme je dis souvent je vais faire de mon mieux plus que ça je suis incapable, Ce matin j’ai une rencontre de préparation des formateurs… Parfois écrire mon blog c’est beaucoup plus long. Je pense à cet ancien voisin maintenant incarcéré à vie pour le meurtre de son amie, quelqu’un de dangereux. Je vais essayer d’explorer mes sentiments c’est surtout la douleur quand je suis calme et repus j’ai rarement quelque chose à dire. Mon écriture c’est pas de l’exaltation j’ai toujours en tête le désarroi de Bigras et Ferron une bonne correspondance épistolaire. Quand je vous écris comme ici j’aime bien considéré que c’est de la littérature. Les réseaux sociaux ont pas encore leurs lettres de noblesse mais ça va venir. J’entend un sourd et muet, enfin presque, gueuler dehors. C’est la désolation avec toutes ces guerres tout ces morts innocents on épargne pas même les enfants, c’est triste pour ne pas dire dramatique. Parfois je me dis qu’être un admirateur des grands écrivains ça paralyse pour écrire, faut être effronté pour écrire après les plus grands. Quand même je le fait c’est un défi. L’automne est vraiment là je vais voir où ça mène tout ça. Je lis présentement un roman qui décris une certaine communauté à Dawson dans les territoires du nord-ouest comme j’écrivais c’est un roman peuplé d’alcooliques et de toxicomanes, c’est pas un portrait ce monde là est beaucoup plus violent et criminels qu’en fait la description de cet autrice. Je vais essayer de m’éloigner de ce sujet. Hier un joueur des Alouettes a atteint le centième sacks de sa carrière, bravo monsieur Lemon. Y’a  eu de la neige au Mont-Tremblant, c’est une nuit qui ressemble à un dimanche, y’a des travaux sur la rue elle est tranquille.. Le congé est finis ce matin on rentre au travail moi je me sens pas coupable de rester chez moi je suis retraité. Je vous écris ça en rognant un peu sur le temps. Je termine c’est la chute, la conclusion l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

10/10/2023