vendredi 1 septembre 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Cette nuit j’ai un gros blanc rien a arracher à mon cœur. Je ferai pas la grève comme à Hollywood de toute façon mes écrits sont noyés dans les réseaux sociaux. Je pense à ce New-Yorkais qui aimait sa ville qui ne dors jamais il sortais la nuit… Moi je suis à Montréal et je ne fréquente plus ses quartiers chauds la ville dors quand même. Avant y’avais des nuits que je traversais en marchant je rencontrais des gens étranges. Ici le loyer est payé c’est bien je suis chez moi. Quand j’ai trop les bleus j’ai qu’à me souvenir de mes années de galère ça me ramène. Aujourd’hui je préfère la lumière du jour le chant des oiseaux. Je sais qu’il y a des gangs qui se font un orgueil de ne pas travailler de ne pas dormir en passant la nuit à boire et à se geler, souvent ils sont très malhonnêtes… Parfois je partais la nuit sans dire où j’allais je me souciais pas du danger de toute façon on semblait s’en foutre. Maintenant même en voyage je suis prudent je sors pas la nuit, je préfère l’architecture les monuments les statues le jour. Cette nuit je suis vraiment désarmé j’ai plus de mots, je me souviens que c’est un long week-end lundi c’est la fête du travail. Il est passé minuit je cherche mes mots, je partirais encore pour vous écrire de nouveaux lieus de nouvelles contrées, parfois j’ai un mot en tête et c’est une chanson qui apparait… Je pense à tout ces poètes disparus ça y est ont les a passés aux oubliettes on en parle plus. Il reste quelques poèmes mémorables, je pense aux Ils ne demandaient qu’à brûler du regretté Gérald Godin… Les cantouques aussi, je vous écris solitaire de ma nuit et j’espère j’espère tuer l’ennuis. On se demande où serais le monde sans poésie, rien qu’à penser au détenu dans sa cellule qui se laisse emporter par des vers. Ça sert à rien mais c’est bon pour tout. Parfois j’écris des torchons ça prend du front. Voilà ! J’essaye toujours de trouver les mots, au début comme à la fin, disont qu’on est pas poète par dépit ni par désoeuvrement faut l’avoir dans le sang. C’est la chute, l’épilogue, la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À la prochaine j’espère !!!

02/09/2023


1 commentaire:

  1. Plusieurs choses meviennent en tête après cette lecture. En marchant, j'ai écouté le baladeur du show poétique de David Goudreault qui joue si bien avec les mots. Et côté voyage, la série Tadam Vietnam sur Évasion donne vraiment le goût de visiter ce coin du monde.

    RépondreSupprimer